Lundi 17 h 30
PDV Luna
La journée était assez différente. Et pour cause ! Jacob et Mélody se sont affichés comme un couple, ce qui a fait jaser les lycéens. Mallory regardait sa cousine et son nouveau petit ami avec effarement. Le nouveau couple se prenait la main tendrement, s’embrassait timidement. Jacob prenait assez maladroitement son imprégnée contre lui quand nous parlions dans les couloirs, mais cela ne semblait pas la déranger, elle-même étant assez gênée. Pas gênée d’être avec lui, mais sûrement du fait que tous les élèves les regardaient comme des bêtes curieuses. A certains moments, Mélody rougissait légèrement et Jacob souriait. Ce qui ne pouvait signifier qu’une chose, ils communiquent par la pensée et le loup a sûrement voulu taquiner son imprégnée en lui faisant quelques allusions. Il faudrait qu’avec Kim et Emily, on parle à la nouvelle imprégnée en lui apprenant qu’elle peut également taquiner son loup.
Je viens d’arriver avec Embry à la maison. Ma mère est allée chercher mon père à l’aéroport et ils ne rentreront que vers vingt-et-une heure. Mon cher et tendre n’a pas de patrouille ce soir et il semble se retenir de dire ou faire quelque chose.
- Embry, qu’est-ce qui t’arrive ?
- Hum… Rien…
- Bien sûr que si. Je sens que tu essaies de bloquer tes pensées.
- C’est… Je suis désolé… C’est à cause de cette chemise…
- Ma chemise ?
Il m’envoie la scène du matin même de son point de vue.
Flashback du PDV Embry
Quand elle se tourne vers moi, mon cœur ratte presque un battement. Elle veut vraiment que je la plaque contre ces casiers et que je lui saute dessus. Sa chemise n’est boutonnée que jusqu’à la limite de sa généreuse poitrine. En plus, son cou est dégagé et montre ma morsure.
- Un problème Embry ? me demande-t-elle avec un ton dégagé mais son regard intense me donne quelques frissons.
- Hum… Le problème, c’est que je ne vais pas réussir à ne pas te toucher aujourd’hui… j’ai une voix légèrement rauque.
- Et bien contiens-toi Embry. Vous êtes au lycée là, intervient Quil qui nous rejoint, suivi de Jared, Paul, Kim et Seth.
* J’ai envie de déboutonner cette chemise qui emprisonne tes seins… *
* Cela voudrait dire que ce que tu vois te plaît ? *
* Plus que ça Bébé. J’ai envie de toi de plus en plus *
Fin du flashback
Je rougis en constatant qu’il me désire plus que tout. Je n’ai pas le temps de dire quoi que ce soit, qu’il plaque furieusement ses lèvres sur les miennes. Je m’accroche à ses épaules pendant que lui me serre la taille pour me rapprocher de lui. Je sens son désir contre mon ventre et cela me fait gémir doucement. Il grogne en réponse et quelques secondes plus tard, je suis plaquée contre le mur du salon, Embry m’embrassant comme un fou. Une de ses mains est dans mes cheveux et l’autre est sous une de mes cuisses.
* Ma Luna… *
Même dans ses pensées, je ressens son désir.
* Amènes-nous dans ma chambre mon loup… *
* Avec plaisir ma belle *
Il grogne et me soulève contre lui, j’entoure ses hanches de mes jambes, ses mains sont sur mes fesses et je gémis. Il quitte ma bouche pour s’attaquer à mon cou et je le sens marcher. Quelques minutes plus tard, je suis sur mon lit, Embry au-dessus de moi et m’embrassant le cou.
- Hum… Embry…
- Tu rends vraiment fou Bébé…
Il a une voix rauque qui me donne des frissons. J’inverse les rôles et me retrouve à califourchon sur lui. Il semble surpris quelque peu mais sourit d’un regard empli de désir et joueur à la fois.
Fin PDV Luna
PDV Embry
Je suis au paradis. Vraiment. Mon imprégnée est assise à califourchon sur moi et me regarde, tentatrice. Je vois ses yeux qui brillent d’excitation et d’anticipation. Je vois alors qu’elle commence à déboutonner sa chemise avec une lenteur qui me fait bander de plus en plus fort. Sa peau légèrement hâlée est dévoilée à chaque fois qu’un bouton est ouvert. Mes mains sont sagement sur ses cuisses, mais mon loup est plus qu’agité et excité de corps absolument radieux. Je sens qu’il a envie, presque encore plus que moi, de plonger au plus profond de notre imprégnée, de la faire sienne encore et encore. Sa chemise est maintenant ouverte entièrement et je reste sans voix devant tant de beauté naturelle et de sensualité. Son ventre plat, son petit piercing, son soutien-gorge est rose pâle avec des motifs de fleurs, il lui remonte les seins, elle est haletante, tellement sexy et je sens petit Embry se durcir sous cette vision enchanteresse. Je gémis légèrement et je la vois sourire triomphalement et se mordre la lèvre.
Ce geste eut totalement raison de moi et je me laisse porter par la passion. Je lui enlève la chemise ouverte et la jette par terre. Elle rigole doucement sous mon empressement et je fonds sur ses lèvres en me redressant. Je sens alors sa poitrine douce et ferme à travers mon tee-shirt. Je sens ses mains qui essayent de me l’enlever avec empressement et je grogne. On réussit à m’enlever le vêtement qui était de trop et elle se jette elle-même sur mes lèvres. Elle passe sa main dans mes cheveux et l’autre sur mon torse nu. Sentir sa poitrine presque entièrement nue contre mon torse est une sensation magique. Ses lèvres, ses gestes et les miens sont pressants et emprunts de passion.
Je nous fais nous retourner pour qu’elle se retrouve dos au matelas et je recommence à l’embrasser doucement dans le cou. Je descends lentement sur sa poitrine, lui faisant pousser quelques gémissements presque inaudibles. J’entends son cœur qui bat vite, sa respiration qui s’accélère.
- Embry… Continues…
- A vos ordres, gente demoiselle…
Je souris sur sa peau douce et parfaite. Je me retrouve le visage entre ses seins et sors ma langue pour lécher cette peau qui ne demande que ça. Luna aspire l’air entre ses dents sous la sensation et cela me pousse à aller plus loin. Je mets une main sur le matelas pour ne pas l’écraser et l’autre main va à la rencontre d’une des bretelles de son soutien-gorge. Elle a écarté les jambes pour pouvoir m’accueillir et je sens son bassin contre le mien. Je continue à lécher sa peau et là, je la sens se cambrer, ce qui me fait me redresser pour voir pourquoi. Je la vois alors cambrée sur le lit, ses mains sont derrière son dos et là je comprends qu’elle détache son soutien-gorge. Elle est absolument magnifique, sensuelle, un petit sourire timide et provocateur à la fois. Je vois le tissu se relâcher sur ses seins. Elle ressort ses mains de derrière son dos et je la vois enlever le sous-vêtement inutile à présent. Je suis figé sur place et l’observe. Sa poitrine pleine, nue, offerte est un enchantement pour mes yeux. Je plonge mon visage entre ses seins et commence à humer, lécher, mordre sa peau. Elle gigote sous moi, frottant son intimité que je sens mouillée contre mon sexe déjà durci à travers le tissu et elle gémit sourdement. Je sens que je vais perdre le contrôle si elle continue comme ça.
- Ma chérie. Je ne vais pas pouvoir tenir longtemps si tu continues comme ça…
- Embry… Mmm… Continues…
- Luna, j’ai peur de… Je vais perdre le contrôle… et franchir le cap trop tôt…
- Quoi ? Ah bon ?
- Je suis sur le point d’exploser littéralement. Si on continue comme ça, je vais m’enlever le short, t’enlever ton pantalon, ta petite culotte et je vais plonger en toi… Et c’est trop tôt, même si j’en crève d’envie…
Le silence me répond et je regarde son visage. Elle est toute rouge, ses lèvres sont entrouvertes, sa respiration est saccadée et son cœur bat vite.
- Tu… Tu as raison. On n’est pas encore prêts. Je suis désolée de…
- Ne le sois surtout pas ma chérie. C’est moi qui ne sais pas me contrôler avec toi.
- Je ne t’aide pas non plus. Mais, je veux qu’on avance un peu plus. Pas forcément faire l’amour tout de suite. Mais, faire un peu comme samedi. Enfin, si tu es d’accord…
- Je…
Je reste sans voix. Elle veut qu’on avance sans pour autant faire l’amour trop rapidement.
- Genre des préliminaires ?
- On va dire que oui. Le temps qu’on s’habitue un peu plus l’un à l’autre à ce niveau-là.
- Du coup, tu veux faire quoi là ? Maintenant ?
- Je ne sais pas trop. Toi, tu comptais faire quoi exactement ?
Je comprends immédiatement qu’elle veut que je lui décrive les intentions que j’avais quelques secondes auparavant. Je commence alors à la caresser et à lui expliquer d’une voix emplie de désir :
- Alors, tout d’abord, je continuerais de te dévorer tes seins absolument magnifiques…
Je joins le geste à la parole et reprends mes caresses, mes léchouilles et mes légères morsures sur sa poitrine généreuse. Elle soupire.
- Ensuite, je t’aurais enlevé tout doucement ton pantalon pour t’observer seulement avec ta culotte.
Quelques secondes plus tard, je me redresse pour l’observer dans sa culotte rose pâle, elle a quelques dentelles sur les bordures. Ses cuisses ont l’air d’être douces à souhait et je peux voir que la culotte est légèrement transparente. Je vois donc une partie de son intimité à travers le tissu. Notamment le petit bourgeon de chair que j’ai pu toucher par-dessus le tissu samedi et qui l’avait fait crier et jouir sous mes caresses.
- Mmm… Magnifique et appétissante… Ensuite, je t’aurais enlevé ta jolie culotte pour te caresser doucement et pour te faire gémir.
Je ne joins pas encore le geste à la parole et la regarde. Elle a les yeux à demi fermés. Je pose mes mains sur les bords de sa culotte de chaque côté.
- Je peux ?
Je sens qu’elle tremble mais elle acquiesce.
- Oui… Je veux que… tu me touches Embry…
Je tire sur le tissu lentement. Je vois alors pour la première fois l’intimité d’une femme et c’est celle de la femme de ma vie. Elle a les cuisses toujours écartées et ne bouge pas d’un millimètre. J’approche doucement mon visage de cet endroit secret et sens son excitation. Cela me fait pousser un léger grognement. Je souffle légèrement dessus et je l’entends gémir. Mon membre se tend encore plus dans mon boxer.
- Mmm… Bébé, tu es magnifique…
J’approche ma main vers son clitoris et l’effleure doucement. Elle soupire et je gémis. Je recommence mon geste avec une légère pression. Un petit gémissement se fait entendre de sa bouche et elle gigote un peu. Je me sens sourire triomphalement et continue mes caresses. Au bout de quelques caresses, mon doigt s’aventure légèrement plus bas vers ses lèvres. Je sens la moiteur et la chaleur de son intimité qui m’appelle mais je ne fais que passer dessus. Ma Luna se tend légèrement et je reviens sur son clitoris. Cela la détend presque instantanément. Je pense que je vais me concentrer sur celui-ci. Nous avons tout notre temps pour effectuer d’autres explorations. Je me remets à caresser ce petit bourgeon qui semble vibrer sous mon doigt. J’accélère mes mouvements, encouragé par ses gémissements, ses grognements et ses mouvements de hanches absolument merveilleux pour mes yeux.
J’ai tellement envie de lécher son mont de Vénus que je m’approche un peu plus de son secret et sors ma langue. Je le touche alors et un long gémissement lui échappe. Son goût est vraiment exquis et je recommence l’expérience, la faisant gémir de nouveau. J’approche de nouveau mon doigt de ses lèvres et sens son excitation à son entrée. Elle gémit encore plus sous mes coups de langue qui est presque enivrée par son bouton de rose. J’entre lentement mon doigt au cœur de sa féminité et elle se tend de nouveau mais ne m’empêche pas. Je continue de lécher son clitoris mais lève les yeux vers son visage. Elle est un ravissement pour mes yeux. Elle respire difficilement sous ma torture, ses yeux d’habitude bleus ciel sont maintenant bleus marines et cela me subjugue. Elle acquiesce à ma question silencieuse. J’entre de nouveau mon doigt dans son fourreau chaud, moite et empli de sa cyprine et je ne le bouge plus, la laissant s’habituer à la présence. Elle gémit doucement sous l’intrusion et bouge timidement ses hanches. Tout en continuant de la lécher, j’entame un petit va et vient.
* Aller ma chérie, viens pour moi *
- Oh… Embry… Hum… C’est trop bon…
Je continue ma torture, mon érection est douloureuse mais je m’en fous. Je sens que je pourrais venir également tellement j’aime lui procurer du plaisir.
- J’y suis bientôt…
* Vas-y Bébé. Jouis pour moi… *
Encore un peu de pression avec ma langue et encore quelques allées et venues et… Oh putain de merde ! Son vagin se resserre brusquement autour de mon doigt et ma Luna crie son plaisir.
- Oh… EMBRY !!! OUI !!!
C’est tellement bon de l’entendre jouir pour moi que je sens mon boxer se souiller de mon propre plaisir.
Fin PDV Embry
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