Leliel
24 juin 2017 à 14h28

Le double discours est venu un peu par hasard, en fait. Au départ, je pensais écrire du point de vue de Jamréo, donc j'ai écrit une introduction... Que j'ai trouvée nulle. Donc j'en ai écrite une deuxième, du point de vu du chroniqueur... Que j'ai trouvée bof. Comme je bloquais sur l'intro, j'ai écrit le milieu, du point de vue de Jamreo, puis un autre bout du point de vue du chroniqueur... Et comme au final, j'étais à la bourre, j'ai lié les différents morceaux et j'ai continué d'alterner le point de vue narratif. Voilà! Dans les milieux littéraire les plus raffinés, on appelle ça "écrire à l'arrach' ".
Je pensais mettre un peu de couleur dans le texte ou jouer avec la police de caractère... Et puis j'ai vu que ce n'était pas possible sur le Conteur. Du coup, j'ai fait avec les moyens du bord, en me demandant ce que diable j'étais venu faire dans cette galère.

Pour ce qui est du problème de culotte, entre un aventurier culotté et une capitaine que l'on pourrait qualifier de culotte de peau, on peut se demander qui des deux va porter la culotte, et qui se prendra une déculottée... Il s'en est fallu d'un sh'leveu que les rôles ne soient inversés. Mais après tout, comme le chroniqueur en est arrivé à jouer ses culottes, n'a-t-il pas eu le sort qu'il méritait?

ffmonrise
24 juin 2017 à 23h49

Tant qu'il ne se prend pas une fessée cul-nu... (culotte de peau... merci pour cette expression qui ne me disait rien )
Pour l'arrach, moi je dirais que tu as fait un récit chorale, à plusieurs voix donc... une sorte de canon, quoi (je parle pas de Jamréo, hein )

Leliel
25 juin 2017 à 00h09

Oh mais des canons, Jamréo en a toute une batterie... En plus d'en être un elle-même, en effet. ... Un canon avec un caractère explosif. Pas étonnant que ce gredin de chroniqueur ait mis le feu aux poudres!

ffmonrise
25 juin 2017 à 18h19

Bah j'avoue que je pensais au canon, genre chant, quoi, l'aspect tonnant ou trébuchant m'avait échappé, mince !
Tu voulais peut-être parler de batterie de cuisine ? Ah oui, une femme-cheffe, maître-coq, cuistot ou boucanant du petit rat de cambuses... non, là j'abuse...
*pis je préfère avoir le vent en poupe, merci bien*

Leliel
27 juin 2017 à 19h31

J'avais bien saisi qu'il s'agissait de chant en canon Concrètement, le chroniqueur (qui peut être maître chanteur à ses heures) fait entendre à l'équipage une très jolie voix de contre-ténor, attaché où il est.
Quant à notre pirate, elle n'est pas as du maniement de la casserole. Ou alors pour frapper avec. Non, vraiment, elle n'est ni maître-coq ni mère-poule.

ffmonrise
27 juin 2017 à 22h32

'une voix de contre-ténor'... Ouilles !
si elle ne fait pas ça en deux coup de cuillère à pot, on ne peut pas dire que la bretteuse y aille avec le 'DO' de la cuillère (qui rime avec 'lalalère', quoi)
*lalalère*