Fiche Nouvelle
16 ans et +
Fantastique/Horreur
14 039 mots | ~47 minutes
Jeudi 17 novembre 2016
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Ishutani (DeviantART)
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Commentaires
J'ai beaucoup aimé cette nouvelle version de ton texte. Elle est plus complète mais aussi beaucoup plus dur. Les scènes de tortures sont vraiment révoltante. On s'attache au personnage principale et sa haine devient la notre. On le devine seul pour affronter la douleur, seul à vouloir se sortir de cette condition. A part peut-être le vieil homme, bien qu'il ne puisse pas faire grand chose que de s'en remettre à d'autres.
La tentative de bluffer les esprits rate bien évidement. Il ne pouvait en être autrement. Ce qu'ils demandaient c'était de la confiance en eux, mais leur peuple à choisi de se fier à un homme. Signant dans un sens, la fin de l'ère des esprits. Les hommes devront se débrouiller seul. Il a beaucoup d'image forte dans ton texte et je ne parle pas seulement des tortures du début ou du moment où l'homme est vidé pour pouvoir renaitre. Il y a aussi le sang dans les champs de coton. Le fait que cette fleur immaculée soit synonyme de tant de douleur, et lorsqu'elle se teinte de rouge, on a l'impression qu'on la révèle au monde pour montrer ce qu'elle cache en son coeur. Je suis partie loin. Pour le conte du grand-père, j'ai eu l'impression qu'il s'agissait de notre héros et qu'il raconté l'histoire aux enfants qu'il avait emmené avec lui. Quant au vieil homme de la fin, qui est-il ? Le héros ? Papa Legba ? Ou celui qui voulait sauver son peuple ? Par contre, je trouve qu'il y avait beaucoup plus de parallèle avec la musique dans le premier texte. Est-ce que c'est voulu qu'il y en est moins ici ? De même, la hache a moins de place. Elle n'est plus un personnage a part entière. Petite remarque, il y a un homme où on passe aux dialogues des enfants sans séparation dans le texte et j'ai eu un peu de mal à comprendre. Je ne sais si c'est voulu parce que pour les autres, il y a la séparation. De même, à un moment, il y a une ligne de dialogue qui est remonté ce qui fait que le personne fait la question et la réponse en même temps. Je te félicite pour ce texte complexe, dur et en même temps poétique avec des images fortes.
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11 avril 2021 à 21h01
tu as raison, j'avais de quoi lire.
En effet, j'avais de donner un nouveau souffle et aussi raconter plus de choses dans cette histoire, allez plus loin. Si mes souvenirs sont bons, j'ai eu l'idée de reprendre la Nuit du Baron Samedi à cause de Jam et d'un projet dont elle avait parlé sur le l'allée. Ca et Django unchained.
Oui, je n'avais pas envie d'édilcorer ou encore de suggérer; je ne suis pas dans un nouvelle d'horreur, style gradn guignol ,je tenais à assumer la crudité de la chose et adopter le point de vue de ces hommes sans couleurs, qui n'y voient que de l'amusement, une chose comme une autre.
Ensuite, oui. Que peut-il faire, sinon prier. Mais ce n'est pas en vain, car lui n'a jamais oublié la puissance des esprits, ce en quoi il lui réponde favorablement, comme Kalfou qui le conduit à Baron Samedi.
Je ne pense pas que tu sois partie si loin que çà, tu as seulement vu ce qu'il fallait voir, surtout à propos des champ de coton, qui sont de fait des champs de morts, en fait toutes les images. J'ai beaucoup lu (et je lis encore beaucoup) d'ouvrages de Jung ou de Marie Louise von Franz qui ont une approche très symbolique de la psyché humaine, çà m'a beaucoup aidé, parfois égaré dans l'écriture. Pour autant, aucune de ses images n'est calculé à l'avance, je m'écoute seulement.
Bien vu pour le conteur que l'on aperçoit avec les enfants, c'est bien le héros. A la toute fin lorsqu'il regarde les étoiles à travers ses mains, c'est au travers des trous des clous.
Comme je te disais, je ne pouvais pas faire une nouvelle aussi longue sur la même rythmique, j'aurai perdu le fil et la hache, du coup, passe en arrière plan, en effet.
Ah la séparation manquante c'est une coquille. Je vias voir pour corriger çà.
Et surtout merci beaucoup pour le temps pris à lire et à commenter ^^