A San Francisco, le crime ne paya pas.
Comme tous les vendredis soirs, une jeune femme de vingt huit ans termina son travail dans la restauration. Il fut deux heures du matin. Il eut très peu de monde dans les ruelles. Marianne prit une rue sombre et se dirigea vers sa voiture. Sur le parking, il ne disposa qu'un seule véhicule sur le côté droit. On n'entendit que ses talons sur le goudron. L'humaine chercha activement ses clés de voiture, à l'intérieur, de son sac rouge, mais en vain.
Ultérieurement, les lampadaires clignotèrent au-dessus de son crâne. Son cœur battit à la chamade. Marianne se méfia de tous les vendredis. Elle mordit nerveusement sa lèvre pulpeuse. L'individu sentit du souffle. Soudain, un homme apparut de la noirceur, silencieux. Marianne retint son haleine. Malgré cela, elle distingua un homme dans le rétroviseur.
Elle ferma ses pupilles.
Marianne percevait l'aura d'un démon derrière elle. Elle ne put se défendre, car il eut un couteau tranchant entre sa main gauche. Il se précipita vers elle, en courant. Il planta l'objet vers les omoplates de la victime. Sa respiration se coupa et sentit une immense douleur vers la colonne vertébrale. Le tueur lâcha sa prise, et Marianne tomba raide sur le calfat.
Sa tête tomba la première sur le sol.
-Je t'ai l'ai dit, Hallie. Je vais tuer toutes tes protéger.
A ces mots, il fit tomber son arme, et s'en alla dans la nature. Pendant qu'il s'éclipsa, un sdf fut réveillé par un bruit sourd. Un vieil homme, d'une soixantaine d'année, s'approcha vers la voiture jaune. Intriguer, il vit du liquide rougeâtre sur le sol. Choqué, il courut vers le centre-ville.
Au petit matin, l'inspecteur Darryl Morris se trouva sur les lieux, du crime. Il bailla. Sa montre indiqua six heures du matin. Il ouvrit doucement ses paupières puis perçut du sang-frais sur le sol.
Il salua ses collègues, et s'agenouilla vers le corps sans vie.
-Comment s'appelait-elle ? demanda, Morris.
-Elle se nomma Marianne Dream. Reprit, son coéquipier.
-Mort ? Elle est ressente, non ? Son sang est frais.
-D'après, le légiste, elle est morte à six heures du matin.
-On a des suspects ? demanda, Morris, d'une voix neutre.
-Un, sdf a vu quelque chose, mais il délire.
Darryl Morris haussa son sourcil droit, intrigué.
-Pourquoi délire-t-il ? questionna, l'inspecteur.
-Il a cru voir des yeux rouges vers les poubelles.
-Hummm..Je vais l'interroger. C'est, l'arme du crime ?
-Oui, on va l'analyser. Reprit, Broom.
A ces mots, l'inspecteur Darryl Morris se dirigea vers le barbue, d'un pas lent. Sa main gauche se trouva à l'intérieur de sa poche extérieur de sa veste beige. Sa cravate marron fut assortie à ses yeux.
L'humain s'approcha pas à pas du sdf, Drew.
-Bonjour, monsieur ?
-Je m'appelle Drew, et je n'ai pas tué cette femme.
-Je vous crois, monsieur, Drew. Je reconnais un tueur quand j'en vois un.
-Alors, pourquoi personne ne me croit lorsque j'ai vu cette chose ?
-Avez-vous bu, hier soir ? demanda, Darryl.
-Non, je n'étais pas ivre. J'ai dormi et j'ai été réveillé par un bruit.
-Qu'elle genre de bruit ? insista, Darryl.
-Vous ne me croirez pas, de toute façon, inspecteur.
-Racontez-moi. Reprit, l'inspecteur.
Rassuré, Drew reprit la parole avec un timbre délectable. Darryl Morris prit des notes sur son calepin avec un stylo basique. Tout à coup, il repensa au surnaturel. Une expression de quiétude se lit sur son visage coloré.
L'un des médecins recouvra le corps sans vie de Marianne avec un drap blanc. Darryl Morris eut de la peine pour cette jeune femme, morte.
Plus loin, dans la maison des « Halliwell » Phoebe prit son petit-déjeuner avec sa sœur, Paige. Elles rigolèrent entre elles. La journaliste mangea un croissant aux amandes puis but du chocolat chaud. Paige avala du lait frais. Le dessus de sa bouche fut recouvert par une trace blanche. Elle essuya sa lèvre avec l'aide d'un torchon rose.
Piper déjeuna très peu, ce matin.
-Bah, tu ne manges pas, Piper ?
-En ce moment, je n'ai pas trop faim, Paige.
-Ce n'est pas bon, tu le sais ? Reprit-elle. Tu dois être en forme.
-Je suis grande, Phoebe. Je vais donner, le biberon à Wyatt.
L'aîné se leva de sa grande chaise en bois […]
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