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tome 1, Chapitre 2 « De petites retrouvailles et de nouveaux sentiments » tome 1, Chapitre 2

* Chapitre 1 *

De petites retrouvailles et de nouveaux sentiments.

Seto Kaiba était de mauvaise humeur depuis hier soir. Ses employés l'avaient bien senti d'ailleurs. Il était en permanence à hurler des ordres, à un tel point que la consommation de médicaments pour maux de tête avait doublé par rapport à l'habitude. Heureusement que l'infirmière de la société était là !

Mais tous se demandaient quelle était la cause de sa mauvaise humeur. C'est vrai, qu'est-ce qui pouvait l'irriter à ce point ? Et bien la réponse est très simple, le jeune homme n'avait toujours pas digéré le fait que Yugi n'ait pas pu faire le duel hier soir. C'est abusé, oui. Mais Seto était comme ça, il s'était énormément préparé pour ce duel, avait élaboré de nouvelles stratégies de jeu et surtout, il avait enfin trouvé un moment où il ne travaillait pas. Un vrai miracle, ces temps-ci. Malheureusement, ses espoirs avaient été anéantis par Salomon quand ce dernier lui avait annoncé que Yugi dormait déjà. Ridicule, avait immédiatement pensé Seto. Il savait que Yugi n'était pas très résistant physiquement parlant, mais de là à se coucher à seulement sept heures du soir, il y avait des limites. Mais il ne pouvait pas grand chose à tout cela.

En fin de matinée, Seto se dit qu'il devrait réessayer d'appeler le « maître des jeux » pour remettre ce duel. Yugi ne pouvait le refuser à son plus grand rival ! Et puis ses employés pouvaient bien se débrouiller deux ou trois heures sans lui, ils avaient intérêt en tout cas. Sa décision prise, et avec son habituel air froid, Seto composa le numéro de la petite boutique de jeux – numéro qu'il commençait à savoir par cœur – et attendit que l'on décroche...

« - Mais il le fait exprès ! pensa Seto, de plus en plus énervé par la tournure des événements. »

En effet, ça sonnait occupé. Au bord de la crise de nerfs, il raccrocha brutalement le téléphone et appuya ses coudes sur son bureau. Après s'être calmé peu à peu, il se dit qu'il réessayera un peu plus tard.

*

Yugi, après avoir appris que sa sœur revenait à Domino, se leva et s'habilla – avec une incroyable lenteur, vu qu'il n'était que passablement réveillé – et prit tranquillement son petit-déjeuner. À la demande de son grand-père, Yugi l'aida à décharger les cartons de cartes de duel de monstre, qui, il faut le dire, partaient de plus en plus vite et représentaient plus de la moitié du chiffre d'affaires du magasin. Puis, après tout cela, il décida d'appeler tout le monde : Téa, Joey ainsi que Tristan, pour leur annoncer la merveilleuse nouvelle, à savoir que la délicieuse Okimi revenait de son long séjour en Amérique. Les réactions se firent légèrement différentes entre Téa et les deux garçons. La brune était plus du style : « Enfin ! Depuis le temps que nous l'attendions ! Je sens que ça va être génial ! ». Elle était folle de joie de récupérer une amie et de ne plus être la seule fille du groupe. Tandis que Joey et Tristan ça donnait plutôt : « Non ! Pas la psychopathe ! Pitié ! ». En effet, bien qu'ils le disent avec le sourire et en rigolant, Joey ainsi que Tristan s'étaient souvent querellés avec elle à l'époque où ils embêtaient encore Yugi. Elle peut devenir très susceptible et sadique quand il s'agit de son frère et ils en avaient fait l'amère expérience. Mais malgré tout, ils l'appréciaient beaucoup et tous trois furent réjouis de son retour.

Téa, Tristan et Joey décidèrent alors de se réunir chez Yugi pour accueillir la jeune femme. Le jeune homme aux cheveux tricolores fut ravi de les voir arriver, car il avait vraiment besoin d'aide. Il en avait un peu marre de son uniforme scolaire et ne savait pas quoi mettre pour l'arriver de sa sœur. C'est alors que ses trois amis se transformèrent en critique de mode, du moins, surtout Téa, qui s'en donnait à cœur joie. Mais ils furent dérangés par le téléphone qui sonnait de nouveau.

« - Joey, tu peux décrocher, s'il te plaît ? demanda Yugi qui enfilait une veste grise, au blondinet qui était en train de s'empiffrer de chips avec son ami Tristan.

- Euh... Mais je suis très très occupé là, demande à Tristan ! rétorqua Joey, ne voulant pas bouger du canapé.

- JOEY ! crièrent les autres pour qu'il bouge.

- Ok ! Ok ! Mais la prochaine fois ce ne sera pas moi, je vous préviens ! »

Il se leva et décrocha enfin le téléphone dont la sonnerie se faisait persistante.

« - Kame Game Shop ! fit Joey.

- Tien, tien... Wheeler... répondit une voix froide à l'autre bout de la ligne.

- Kaiba !

- Je ne savais pas que les chiens pouvaient répondre au téléphone... dit-il d'un ton sarcastique. Enfin bon, je n'appelle pas pour te parler, passe-moi Yugi.

- Grrr !!! Je n'ai pas tellement envie de te le passer, surtout après ce que tu m'as dit, franchement... Mais... Si tu reconnais que je suis un meilleur duelliste que toi, peut-être que je ferais un effort.

- L'espoir fait vivre Wheeler, mais tu peux toujours rêver looser ! Maintenant passe-moi Yugi ! ordonna le brun, cinglant.

- Nyeh... Mauvaise réponse Kaiba ! Dommage pour toi, au revoir !! répondit le blond, un sourire sadique aux lèvres, s'apprêtant à raccrocher le téléphone.

- WHEELER ! cria le jeune PDG énervé, pressentant ce que Joey allait faire.

- Non, Joey, ne fais pas ça ! Le pharaon veut lui parler ! s'exclama Yugi en sautant sur le bras de son ami.

- Mais Yugi ! »

En voyant le visage déterminé de Yugi, Joey capitula et lui tendit le téléphone. Le pharaon prit la place de son hôte pour pouvoir enfin parler à son rival de toujours.

« - Kaiba !

- Ah Yugi, enfin... Il faudrait vraiment que tu te décides à mettre une laisse à ce chien. Il est vraiment agaçant. Mais...

- HEY !!! cria Joey en entendant les propos de Seto. Qu'il vienne ce sale PDG, je l'attends de pied ferme !

- Kaiba, je ne te permets pas d'insulter Joey comme ça. C'est mon meilleur ami et c'est un très bon duelliste ! rétorqua Yami, détestant par-dessus tout que l'on s'en prenne à ses amis.

- Hum... Comme tu veux Yugi. Mais je n'appelle pas pour parler de Wheeler, tu sais très bien ce que je veux. Alors, ce soir, huit heures au siège de la Kaibacorp ! ordonna Seto.

- Non, je suis désolé Kaiba. Cela aurait été avec plaisir, mais ce soir, je ne peux pas.

- Pardon ?! s'écria le PDG en entendant une telle réponse. »

Seto avait presque bondi de sa chaise. Puis, remarquant cela après une courte pause, il se calma et proposa :

« - Dans ce cas, demain !

- Non plus, pas avant le week-end prochain, je ne le crains. répondit Yami en secouant la tête, bien qu'il sache très bien que Seto ne pouvait le voir.

- Mais pourquoi ?! demanda Seto un peu plus violemment.

- Car demain, j'aurais sans doute déjà un duel à livrer. Bon maintenant, je dois te laisser Kaiba. Et je te promets le duel pour la semaine prochaine ! termina Yami en voyant que son double était toujours pressé de choisir une tenue pour la venue de Okimi.

- Je... tenta Kaiba. »

Mais c'était trop tard. Le jeune homme aux cheveux tricolores avait déjà raccroché. Le brun sentait un sentiment de haine et de jalousie grimper dans ses veines. IL est LE rival de Yugi, personne d'autre n'a le droit d'être à cette place, PERSONNE ! Et pourtant, le maître des jeux venait de lui annoncer qu'il préférait faire un duel avec quelqu'un d'autre demain... Seto eut un sourire sadique. Demain, il irait lui-même voir Yugi, pour découvrir qui osait prendre sa place en tant que rival et lui faire payer...

Du côté de la petite bande d'amis, tout se passait pour le mieux. L'appel du brun a très vite été oublié, mis à part par Joey qui, lui, en avait marre de se faire insulter par ce prétentieux de Kaiba. Mais bon, sa bonne humeur de revoir la sœur de Yugi reprit bien vite le dessus, et bien qu'il ne voulût l'admettre, ce n'était pas pour rien... Mais ne nous épanchons pas trop sur ce « détail ».

Yugi avait enfin choisi sa tenue : il avait choisi un sous-pull noir et un jean de la même couleur, avec une veste grise sans manche et son éternel Puzzle du Millénium autour du cou. Il n'y a pas à dire, ça le changeait de son uniforme habituel. D'ailleurs, Téa était en pleine admiration devant lui, mais elle se secoua vite la tête, car il était temps d'aller chercher Okimi à l'aéroport.

Une fois arrivée dans l'immense aéroport, toute la bande d'amis chercha l'heure d'arrivée de l'avion sur les grands tableaux quand ils aperçurent dans la foule des cheveux rouge et blond qui s'approchaient. Yugi se précipita vers ces mèches et se jeta sur sa sœur, à deux doigts de la faire tomber.

« - Okimi ! s'écria Yugi en la serrant un peu plus dans ses bras.

- Yugi !! Je suis tellement contente de te revoir ! répondit la jeune fille en serrant à son tour son frère adoré. »

Il n'y avait aucun doute, on ne pouvait pas se tromper, c'était bien la sœur de Yugi ! Elle avait la même coupe de cheveux que son frère – de famille quoi, si on regarde grand-père, c'est pareil – en un peu plus souple peut-être et avec en plus de longues mèches qui cascadaient dans son dos mais elle n'avait pas de cheveux noirs contrairement à son frère, seulement du rouge et les éternelles mèches blondes qui partaient de tous les côtés. Comme vous devez vous en douter, elle était d'une taille légèrement inférieure à la moyenne, à peine plus grande que Yugi. Une autre différence entre le frère et la sœur aussi ; les yeux. Si ceux de Yugi étaient d'un magnifique améthyste, ceux de la nouvelle arrivante en revanche étaient d'un bleu saphir très profond et envoûtant.

Yugi remarqua qu'elle aussi avait fait des efforts niveau vestimentaire, elle portait une jupe noire, accompagnée d'un débardeur, tout aussi noir, assez ample, sur lequel se trouvait une veste bleu roi. La fille aux cheveux bicolores portait aussi trois ceintures autour de sa taille, à la manière de Yugi et un collier en forme de croix de vie de l'Ancienne Égypte – appelée aussi Ankh – ramenée sans doute d'une des nombreuses expéditions menées sur la Terre des Pharaons par leur Grand-Père.

Mais habituellement, elle était comme son frère et portait en permanence l'uniforme avec la jupe bleu ciel et la veste rose du lycée Domino.

« - Okimi ! crièrent les trois autres compères quand ils eurent rattrapé les jumeaux enfin réunis.

- Joey, Tristan, Téa ! Je suis si heureuse de vous revoir, si vous saviez à quel point vous m'avez manquée ! s'écria Okimi en les apercevant. »

Mais Joey fit une action qu'elle n'avait pas du tout anticipée : il se glissa derrière son dos et la serra dans ses bras – son avant-bras sous la gorge – avant de commencer à lui faire un petit shampoing à sec pour la décoiffer.

« - Mais toi aussi tu nous as manqués, planche à pain ! répondit le blond, un sourire sadique aux lèvres.

- Ah non, Joey, ne commences pas avec ça ! Et lâche-moi ! se débattit la jeune femme aux cheveux bicolores, en rigolant. »

Le « planche à pain » était le petit surnom amical que Tristan et Joey avaient donné à Okimi, car la jeune fille, tout comme son frère, était assez mince et par conséquent, plutôt plate au niveau de la poitrine. Elle en a longtemps été complexée au collège, puis à son arrivée au lycée, car tous les garçons se moquaient d'elle. Mais Tristan et en particulier Joey, après être devenu amis avec notre cher Yugi et donc aussi avec Okimi, avaient dédramatisé la chose en soutenant qu'elle était très bien ainsi et que les fortes poitrines n'étaient pas forcément plus attirantes. À partir de ce moment, elle a commencé à ne plus prendre ce détail trop au sérieux et Joey tout comme Tristan en avaient profité pour commencer à la taquiner sur le sujet. Malgré tout, elle restait susceptible et elle ne s'acceptait pas encore tout à fait ainsi.

Au bout de quelques minutes Joey décida tout de même de la relâcher.

« - Ah ! Vous ne pouvez pas savoir à quel point ça fait du bien de rentrer à la maison ! soupira la jeune fille avec le sourire et en s'étirant.

- Oh, tu sais, on peut en avoir une petite idée, quand on est rentré chez nous après le tournoi du Royaume des Duellistes et de BattleCity. assura Tristan.

- Ouais, tu as sans doute raison, mais moi, ça fait quand même plusieurs mois que je suis partie !

- Ça ne change rien, c'est la même impression. soutint Tristan.

- Mais je te dis que...

- Et si vous continuiez votre débat une fois qu'on sera vraiment rentrés ? Parce que l'aéroport ça va un temps. coupa Téa, autoritaire.

- Bien chef ! firent les deux concernés en se mettant au garde-à-vous. »

Une fois rentrés, et après avoir longuement parlé avec Salomon, Téa ainsi que Okimi montèrent dans la chambre de cette dernière pour aller défaire ses valises. Les garçons, quant à eux, préférèrent rester en bas, dans le salon, pour regarder et commenter les manches des tournois régionaux de duel de monstres, retransmises à la télé.

Mais retournons vers les deux jeunes femmes, car elles ont l'air d'avoir quelque chose à cacher aux garçons.

Okimi était en train de vider sa valise en rangeant ses vêtements dans le placard, observée par Téa, quand elle dit :

« - Alors, tu lui as dit ? questionna-t-elle, malicieusement. »

Téa se mit à rougir telle une tomate au soleil et secoua lentement la tête honteuse. Elle et Okimi étaient meilleures amies et se disaient tout depuis le primaire, mais là, c'était un sujet délicat dont il était question et notre adolescent aux cheveux tricolores en était l'acteur principal.

« - Je n'ose pas... répondit finalement Téa.

- Mais tu peux m'expliquer encore une fois, s'il te plaît ? J'ai du mal à comprendre, c'est de mon frère ou du pharaon dont tu es amoureuse ? demanda Okimi, l'index sur le menton et appuyée contre le mur bleu de sa chambre.

- Chut ! Mais ne parle pas si fort ! Les gars pourraient t'entendre ! s'énerva Téa ce qui fit rire Okimi.

- D'accord, d'accord ! Pardon ! s'excusa la plus petite des deux en levant les mains en signe de reddition en voyant les sourcils froncés de la brune. Mais, s'il te plaît, réponds-moi.

- Et bien, c'est compliqué... J'aime les deux... avoua Téa en se frottant la nuque. Le pharaon est fort et charismatique et il m'a déjà sauvé la vie... Mais Yugi, lui, est gentil, attachant et puis je le connais depuis longtemps maintenant... J'aime les deux Yugi.

- Je vois, dur de choisir vu sous cet angle. Mais souviens toi que le pharaon est un esprit vieux de cinq mille ans, il n'appartient pas à notre époque et un jour, il devra partir, et...

- Ne dis pas des choses pareilles ! s'énerva Téa, horrifiée par l'annonce de son amie.

- Je sais que c'est dur à accepter Téa, moi aussi, j'adore le pharaon, c'est très bon ami, même un de mes meilleurs amis. Et puis faire des duels contre lui, c'est excellent, mais... Il a un endroit où retourner. Ça fait cinq mille ans qu'il attend ça, il veut savoir la vérité sur son passé. Et penses bien que c'est encore plus dur pour Yugi, car ils partagent le même corps, mais vie est ainsi faite. Tout ce que je veux que tu retiennes, c'est que mon frère sera toujours là, lui. Et si tu veux mon avis, lui aussi, il t'aime. Mais c'est ta décision Téa, tu es libre d'aimer qui tu veux après tout, ça ne se passe pas toujours comme on le voudrait. Par contre, tu devrais vraiment leur en parler, à tous les deux.

- Oui, tu as raison, mais je préfère penser que le pharaon restera avec nous... Il est bien avec nous après tout ! Il est notre ami, il ne nous abandonnera pas...

- Je l'espère aussi, Téa. Enfin ! Parlons d'autre chose, hein ! Je viens à peine de rentrer et j'ai envie de profiter de vous tous avant de repartir en Amérique et profitons aussi du mieux que l'on peut de la présence du pharaon ! Ne parlons plus de sujets qui nous rendent dépressifs.

- D'accord ! acquiesça Téa en retrouvant sa bonne humeur. Alors, en parlant « d'amour », as-tu trouvé l'homme de ta vie en Amérique ?

- Euh... Le Magicien des Ténèbres compte ? répondit la plus petite, accompagnée d'un grand sourire innocent.

- Je suppose que ça répond à ma question. ria la brunette.

- Il faut croire que les hommes n'aiment pas les duellistes, comme moi. C'est dommage... Enfin, je vis bien l'absence de romance dans ma petite vie tranquille. Je préfère de loin, m'incruster dans la tienne ! annonça Okimi avec un sourire sadique sur les lèvres.

- Je ne sais pas si je peux m'en réjouir... soupira Téa en levant les yeux au plafond avec un sourire ennuyé.

- Tu DOIS t'en réjouir !

- Bah voyons ! Mais tu sais que Joey semble beaucoup t'apprécier... Tu pourrais...

- STOP ! Ne dis plus rien ! Pour moi, Joey est et restera un ami. C'est vrai, lui et moi, on a souvent de bons délires, avec Tristan aussi, mais je ne le vois pas autrement que comme un ami. prévint Okimi en s'écartant brusquement.

- Bah dommage, cela aurait été bien, je trouve que vous allez bien ensemble, à tout le temps faire n'importe quoi ! se moqua gentiment la plus grande.

- Mais bien sûr ! Bon en parlant des gars, maintenant que je viens de finir de vider ma valise, on les rejoint ?

- Let's go ! répondit Téa enjouée. »

Après être descendue, Okimi sauta directement sur le canapé – à moitié sur Joey d'ailleurs – tandis que Téa, plus calme, s'assit entre Yugi et Tristan. Plus tard dans la soirée, la bande d'amis se mit à jouer à des jeux vidéo, soit de courses automobiles, soit de danse ou encore, sous l'insistance de Okimi et de Téa, à un bon survival-horror, qui confirma que les trois garçons étaient de vraies chochottes. Heureusement pour eux, grand-père commanda trois pizzas ce qui les fit immédiatement passer de derrière le canapé à dessus. La soirée se passa dans la bonne humeur comme à l'habitude. Téa dormis bien évidement dans la chambre de Okimi, tandis que les garçons, eux, dormirent dans la chambre de Yugi.


Texte publié par Kisara, 1er juillet 2016 à 11h55
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