Aube et Crépuscule furent envoyé très rapidement sur la ville attaquée : Lyon. Cette fois-ci, le GRl avait posé les grands moyens et avait envoyé son armada complète. Les systèmes de défenses installé ne pouvaient lutter contre deux Léviathan. Lorsqu’ils arrivèrent sur place, le GPMI observa la rapidité à laquelle le GRL avait installé le chaos. Les quatre vaisseaux se faisaient face maintenant. Les troupes étaient largué au sol, il fallait sauver le plus de civil, c’était la priorité avant le combat. Cette fois-ci, l’UNL était aussi présent, car grâce à leur récente modification quant à la disposition de leur armée, ils purent intervenir très rapidement. Très vite, l’UNL prit contact avec le GPMI, et indiquèrent que toute l’armée de France est en train de venir au plus vite.
L’extraction des civils était lente et les Léviathan commençaient à attaquer les premiers croiseurs, destroyers, RAF, ou autres vaisseaux. Mais ils observèrent d’abord un équipement spécial sur l’un des deux Léviathan. Après vérification, il s’agissait bien d’une foreur plasma. C’était une machine tirant un rayon pouvant forer sur un diamètre de 100 mètres, jusqu’à 10 km en profondeur. Avec la présence de cette machine, le GPMI en déduisit qu’ils venaient chercher quelque chose mais sans savoir quoi. Le GRL avait installer une machine au sol, créant une sorte de balise pour la foreuse. Cette machine était disposée sur une grande place de la ville.
Les combats faisaient rage, et il était au tour de Zarenyth et d’Elsa d’intervenir. Leur mission : Détruire la balise et la foreuse. Elsa monta sur le dos de Zarenyth, et ils foncèrent directement devant l’immense machine au sol, extrêmement bien gardé. En effet, ce n’était pas moins d’une centaine d’hommes et de deux mercenaires qui les attendaient devant la machine. Elsa dit alors :
-Tu es prêt Zarenyth ?
-Toujours. Il faut détruire ce truc ?
-Oui.
-Recule toi je vais le calciner, ce sera rapide.
Elsa se recula, et Zarenyth commença à charger son énergie, à la canaliser. Ses yeux brillèrent, ses ailes aussi. Des flammes s’entrevoyaient à travers sa gueule, et ce fut un chaos lorsqu’il libéra sa puissance. Un jet de flammes gigantesque, en direction de la machine vint la toucher, mais ce fut sans succès.
-ça n’a pas fonctionné…
-Je ne comprends pas pourtant, tout aurait dût fondre sous cette chaleur !
En observant de plus prêt Elsa remarqua un détail très important : les mercenaire et la machine étaient tous recouvert d’une sorte de bouclier énergétique.
-ils sont protégé.
-Je vois.
Mais à peine le temps de dire cela que l’un des deux mercenaires fonçait déjà sur Elsa. Zarenyth qui était un peu plus avancer interpella le mercenaire et contra son coup d’épée avec son aile, avant de le projeter en arrière. Celui-ci se releva mais ne chargea pas, mais ce fut à peine le temps de voir que l’autre avait disparût, qu’il était déjà sur Elsa. Heureusement, Elsa avait déjà dégainé et a pu contrer le coup à son tour. Les ennemies étaient fixées, c’était maintenant deux duels qui s’engageaient. Le fer croisait entre Elsa et son ennemie, à une vitesse fulgurante, mais elle n’avait pas l’avantage : Son épée était un espadon, alors que celui de son adversaire, un sabre. Il était donc beaucoup plus rapide et possédait un avantage conséquent. Elsa se rappela cependant de la particularité de la lame : Elle pouvait se diviser en deux plus petites mais plus maniable. Elsa activa les mécanismes sur la poigné permettant à l’arme de se diviser en deux. En quelques secondes, Elsa se retrouva avec deux armes beaucoup plus légères. Mais elle maitrisait moins le maniement à deux armes qu’avec son espadon. Le combat continua sous les harcèlements de coups de l’ennemi. Pendant ce temps Zarenyth avait un avantage su l’escrimeur : il peu voler. Et l’escrimeur ne pouvait l’atteindre haut dans le ciel. C’est alors qu’une pluie de boule de feu se déversèrent sur le mercenaire, qui esquivait de justesse les tirs du dragon. Cependant, après une vingtaine de minutes de combat, les mercenaires, Elsa et Zarenyth commençaient à s’essouffler et arrivait dans une impasse, et c’est dans l’un de ces moment qu’un autre ennemi fit son entré. C’était un homme équipé d’une armure légère et d’une longue cape. Il n’avait pas d’arme sur lui, ce qui intriguait d’autant plus les deux acolytes. L’homme portait un masque étrange, de couleurs vives. Puis il prononça :
-Alors, dragon, comme ça tu n’aimes pas la pluie ?
A ces mots, il leva les bras, et une sorte de magie les illumina d’une couleur bleue. Quelques instant plus tard, des nuages recouvraient la ville et la pluie commençait à tomber. Pour économiser son énergie, Zarenyth fut forcé de se poser, et de ne plus utiliser de sorts. Le mage se retira, et le combat reprit d’aussi belle. Zarenyth était maintenant désavantagé, et affaibli par la pluie. Le combat l’épuisait de plus en plus à cause de la pluie. Le mercenaire changea son arme en marteau, et chargea le dragon, qui tenta d’esquiver, mais en vain. Le choc le propulsa contre un bâtiment, sur lequel il s’écrasa. Même si Zarenyth possède des écailles qui résiste aux balles, les chocs bien placé peuvent même lui faire mal alors que l’on tape sur les écailles réputé pour le protéger de tout. Mais cela demande une grande précision car seulement quelques petites parties peuvent être un peu sensible, ainsi qu’une force colossale pour s’opposer à la force du dragon. Mais ce coup était à double tranchant : frapper Zarenyth de la sorte lui a provoqué une rage, qu’il déversa sur le mercenaire. Quasi-instantanément, Zarenyth se retrouva contre le mercenaire et abattit sa patte sur sa tête, l’écrasant au sol. L’homme était maintenant hors d’état de nuire, mais Zarenyth avait déjà utilisé une bonne partie de son énergie, il devait faire attention pour éviter d’être à court d’énergie.
Pendant ce temps Elsa continuait d’affronter l’escrimeur qui s’opposait à elle. Cependant, Elsa commençait à fatiguer de son combat, et le mercenaire prenait un avantage sur elle. Les épées se croisaient, elles créaient des étincelles à chaque coup porté. Les jambes des combattants se déplaçaient avec une aisance, comme des danseurs. Cependant, Elsa remarqua que Zarenyth avait fini avec son mercenaire, le regardant l’abattre à terre. Ce court moment aura suffi à son adversaire de contrer sa garde et d’entamer un mouvement qu’Elsa ne pourrait esquiver. L’épée se dirigea avec une vitesse fulgurante sur le torse de la combattante mais alors que la lame allait toucher l’armure, une autre lame vint contrer le coup, déviant sa trajectoire. Un homme en armure blanche avec des symbole bleu dessus venait d’apparaitre.
-Ne baisses pas ta garde. Dit l’homme sous le casque de métal
-Merci, qui es-tu ?
-Tu ne me reconnais pas ?
-Difficile sous une armure de reconnaitre quelqu’un.
-Je me suis enfin décidé à faire des missions avec vous.
-Errion ?
-Tout juste.
-Bien, ton aide va nous être utile il faut éliminer cet homme et détruire cette machine.
-Zarenyth ne peut le faire ?
-Elle est protégé par un bouclier.
Le mercenaire chargea Errion, qui esquiva en même temps que de, avec le plat de son épée, faire tomber le mercenaire, qui perdu son arme dans la chute.
-Voilà problème réglé.
-Pas si on ne l’élimine pas.
-Pas besoin de tuer tout le monde, une équipe arrive pour lui. Je vais lui mettre des menottes.
-Très bien je rejoins Zarenyth pour la destruction de la machine. Mais nous avons un autre problème : la machine on peut s’en occuper, mais la pluie nous gêne. C’est un mage qui la créer.
-Je vois, je vais m’en occuper.
Errion se sépara du groupe sans même aller parler à Zarenyth et parti à la recherche du mage. Pendant ce temps, Elsa eu une idée : le bouclier ne peut être détruit qu’avec une force extrême. Elle s’est donc dit qu’il serait possible de le détruire avec le largage d’un Mécha. Il fallait essayer.
-Elsa à centre de commandement Crépuscule, vous me recevez ?
-Crépuscule à Elsa, on vous reçoit. Où en êtes-vous ?
-Nous avons un problème, la machine est protégée par un bouclier, je voudrais savoir si vous avez déjà largué les deux mécha ?
-Négatif, aucun Mécha n’a été larguer jusqu’ici.
-Je pense que la pression et le poids du mécha qui est largué sur la machine devrais suffire à tout faire exploser.
-Vous êtes sûr ?
-Nous n’avons pas d’autre choix, Zarenyth causerait des dégâts sur une trop grosse superficie s’il devait détruire cette machine.
-Très bien, nous déplaçons Crépuscule, gare à vous là-dessous. Terminé.
Crépuscule commençait sa manœuvre pour lâcher un Mécha. Les Méchas sont des machines de guerre géante, mesurant 100 mètre de haut environs pour 30 de large. Le largage de l’une de ses machines est très onéreux et crée des cratères mais la force donné est équivalente à 1 000 000 de tonnes sur le sol, ce qui devrais suffire à détruire le bouclier, et par extension, la machine.
Mais un nouveau problème s’opposait à eux, qui n’était pas des moindres. Le Léviathan foreur était maintenant sur place et faisait les derniers préparatifs pour lancer le laser de minage.
-Ici Crépuscule, nous somme dans l’impossibilité de larguer, le foreur bloque le passage.
-Il reste combien de temps avant le début du minage ?
-Estimation : 3 minutes. Nous vous recommandons de partir, immédiatement. Le rayon de forage est estimé à 20 mètre.
-On a encore le temps. Zarenyth, à toi de jouer.
-Je fais exploser quoi ? la Foreuse ou la machine ?
-La foreuse, ce sera plus explosif.
-Très bien.
-Ici Elsa, faites reculer Crépuscule, Zarenyth va faire exploser la foreuse.
-Négatif, vous ne pouvez pas, cela aurait plus de conséquence négative que positives.
-Nous devons faire quelque chose sans quoi, ils atteindront leur objectif.
-Nous devons reculer pour le moment, évacuez, tout de suite, vous êtes en danger.
Un laser rouge se créa entre la machine et la foreuse du Léviathan, il était maintenant en place et prêt à tirer. Une énorme boule d’énergie se créa en dessous du canon foreur, et très rapidement, Zarenyth récupéra Elsa, pour qu’ils fuient la zone. Quelques secondes plus tard, un rayon gigantesque s’abattit sur la ville, et tout un quartier fut rasé de la carte. Le rayon dégageait un souffle énorme et un chaleur extrême.
-A toute les unités, la foreuse a commencé à creuser, nous devons l’arrêter, focalisez tous vos tirs sur la foreuse pour descendre ses boucliers, nous allons charger le rayon de Crépuscule.
-Ici Elsa, que devons-nous faire ?
-Il y a une transmission du destroyer « Requiem’s Pillar », je vous transmets : « Mayday, mayday, ici Alpha 56-C Requiem’s Pillar, nous demandons assistance, nous perdons beaucoup d’altitude, nous avons perdu tous nos réacteurs, demandons assistance. » C’est la dernière transmission d’eux, on a observé une explosion sur le sol sur leurs dernières coordonnées. Il semblerait qu’ils se soit écrasé, mais la zone est encore très dangereuse, les équipes de secoures ne peuvent intervenir. Allez là-bas, faites le ménage pour nos hommes.
-Bien reçu, nous y allons.
Zarenyth et Elsa se dirigèrent donc vers le vaisseau, à 5 km d’ici. Lorsqu’ils arrivèrent, ils virent le destroyer écrasé, sous des montagnes de flammes ardentes. Des coups de feu étaient encore tiré au sol près du vaisseau. Ils se dirigèrent donc pour secourir les rescapés. Mais ils ne trouvèrent que des cadavres brûlé ou mort récemment. Le Commandant du vaisseau avait subi le même sort.
-Tu penses qu’il reste des gens en vie ? Demanda Elsa
-Je n’en sait rien. Mais cela nous prendrait trop de temps de fouiller le destroyer.
-Mais cela nous permettrait de peut-être trouver des survivants.
-Je pensais plus à un scan.
-Crépuscule, ici Elsa, vous me recevez ?
-… bruits brouillé …
-Crépuscule ! Merde…
Zarenyth et Elsa décidèrent d’explorer un peu la zone, pour tenter de retrouver des survivant, avant de rentrer, et d’appeler les équipes de secours. Ils firent d’abord un tour en vol de loin, mais ne trouvèrent rien. Ils décidèrent alors de s’aventurer un peu dans le vaisseau, dans les parties les moins abimé. Mais ils n’y trouvèrent rien à part quelques caches d’armes. Au bout de dix minutes, Zarenyth en avait marre et décida de ressortir. Ils sortirent donc du vaisseau et se retrouvèrent alors dans un terrain dégagé entouré de débris. Ils avancèrent alors jusqu’au milieu du terrain, et s’apercevront qu’il n’y avait plus aucun bruit d’armes. Décidé à rentrer pour aider, se sentant inutile, ils se préparèrent à repartir lorsqu’ils entendirent une voix nette : « Attention ! Elsa ! ». Mais ils n’eurent pas le temps de réagir.
Une détonation, un sifflement, et les débris du torse de l’armure qui volait en éclats…
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