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tome 1, Chapitre 17 tome 1, Chapitre 17

Plainfield Memorial, bâtiment où Olivia était retenue en otage par David Robert Jones dans la saison 4. Plusieurs fourgons débarquent en trombe. Peter et Olivia en sortent avec Broyles et d'autres agents.

BROYLES : Tout le monde balaye la zone ! Cherchez un groupe d'intrus équipés de technologies non identifiées. Je répète, on bouge ! (à Olivia et Peter qui se déploient) Pas de mauvaises surprises, vous deux.

Plusieurs plans des équipes pénétrant dans le bâtiment. La salle où Olivia était retenue en otage, des couloirs vides, des conduits d'aération. Puis, au détour d'un couloir éclairé, un agent trouve quelques hommes mettant en place des appareils étranges, ressemblent à des appareils photos du 18ème siècle en regard.

AGENT 1 : Ils sont là !

Un des hommes tire, la fusillade commence. Peter et Olivia arrivent à temps pour assister à travers une vitre à la scène. Un rayon bleuté ressemblant à un éclair en plus frénétique rejoint les deux appareils et éclaire la zone. Soudain, trois observer apparaissent. Les coups de feu provenant du couloir cessent. Les hommes en costumes attrapent les tireurs et le matériel après l'avoir éteint, et disparaissent avec eux.

Un temps de latence s'impose. Tout les agents sont déboussolés.

AGENT 2 : Vous avez vu ça ?!

AGENT 3 : La zone est sécurisée.

Olivia regarde Peter.

PETER : C'étaient des observers.

Au même endroit, les agents de terrain ont dégagé le périmètre. Broyles est là avec Peter, Olivia et Astrid.

ASTRID, lisant un appareil : Il n'y a pas de doutes, les dégâts sont minimes. C'est comme si on voulait nous faire passer un message.

PETER : En tout cas, ils ont notre attention.

BROYLES : Un visuel sur les criminels ?

ASTRID : Nina Sharp devrait nous fournir ça.

OLIVIA : Pourquoi des observers aideraient-ils ce genre de personnes ? Pourquoi maintenant ?

BROYLES : Je n'en sais rien. Mais si ce que vous avez vu est confirmé par les enregistrements, il semblerait que nous nous soyons fait un nouvel ennemi.

PETER : Mais les observers ne nous ont jamais attaqué frontalement ! September nous a même aidé.

BROYLES : Vous les considérerez maintenant comme une menace.

ASTRID : Si Walter était là, il dirait que c'est ridicule.

BROYLES : Et si Walter avait disparu car les observers en avaient finalement eu assez de le voir interférer avec leurs desseins ? (à Peter) C'est ce qui vous est arrivé, non ?

Silence.

BROYLES : Rentrez chez vous, maintenant.


Texte publié par hyperfraise, 15 août 2015 à 00h32
© tous droits réservés.
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