Harvard Lab, la nuit tombe, les trois laborantins examinent encore les objets ramenés par Peter. Olivia est partie, Astrid et Peter restent. Johnathan agite un appareil grésillant sans grand succès, devant les objets, un par un, et Niels regarde dans un microscope. Sylvia est sur un ordinateur.
PETER, à Johnathan : Alors, vous avez quelque chose ?
JOHNATHAN : Pas vraiment. Aucune signature radioactive ou électromagnétique anormale n'est restée sur ces objets. Ni sur aucun objet dans le labo.
PETER : Bon. Johnathan, c'est ça ?
JOHNATHAN : Oui, monsieur Bishop.
PETER : Auriez vous l'amabilité de vérifier mes yeux.
JOHNATAN : Je ne suis pas sûr de saisir...
PETER : Un Observer a déjà communiqué avec moi en laissant un message caché dans ma pupille.
JOHNATHAN : Moi, je vous aurais plutôt invité au café.
Peter le regarde, sérieux.
ASTRID, penchée derrière Sylvia : Vous pouvez utiliser la table d'autopsie et sa lunette.
JOHNATHAN, en rejoignant la table avec Peter : Fantastique...
NIELS : Pas de signe de dégradation moléculaire.
SYLVIA : Les simulations ne valident aucune de vos hypothèses. Mais qu'est-ce que vous entendez au juste par "traverser" ?
ASTRID : On vous expliquera ça plus tard, ma chère. Peter, rien de ce que nous avons tenté n'a été utile.
PETER, les doigts de Johnathan dans l'oeil : Il y a toujours un moyen.
JOHNATHAN, agacé : Ne bougez pas. De toutes façons vous n'avez rien.
ASTRID : Vous avez bien dit que la même chose vous était arrivée lorsque vous essayiez de rejoindre notre réalité ?
NIELS, se levant pour se dégourdir le jambes : Ça, il l'a dit...
ASTRID : Vous pensez que les observers ont effacé Walter de notre timeline ?
PETER, relevé : C'est une possibilité.
NIELS, près de la vache : On nage en pleine science-fiction.
PETER : Je ne comprends pas. Si September s'est aussi fait surprendre, il devrait être venu me voir.
ASTRID : Ils ne pensent pas comme nous, Peter.
SYLVIA : Attendez, les observers, je situe, encore que... Non, ça va. Mais ce September là, qui est-ce ?
Le téléphone de Peter sonne.
PETER, en s'éloignant : Liv. Elle doit vouloir que je rentre.
ASTRID, à Sylvia : Un Observer qui est entré plusieurs fois en contact avec nous.
SYLVIA : C'était un allié ? Il vous aidait ?
ASTRID : C'est encore flou. Il semblait proche de Walter.
PETER, revenant : J'arrive. Je t'aime. A tout de suite. Bon, merci de votre aide, les amis. Ça suffira pour ce soir.
ASTRID, se raclant la gorge : C'est moi, leur boss.
Peter lève la main comme pour s'excuser.
ASTRID : Vous avez fait du bon boulot. Ça suffira pour ce soir.
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