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Roselyre
18 janvier 2015 à 11h02
Bonjour !

Critiques positives ou négatives puis avis général, comme à chaque fois !

* « Il reconnut Frontières avec son, si caractéristique, torse de bronze. »=> Peut-être un abus de virgule.

* J'ai noté quelques répétitions :
« Mais C’est alors qu’il remarqua le silence assourdissant du lieu, hormis le chant du vent dans les arbres, rien ne venait troubler par son chant ou par son cri l’harmonie du lieu. » => Répétition de chant

« Il sortit bientôt du manoir, le miroir brisé sous le bras et s’en revint portant sous le bras trois boîtes en cartons, qu’il mit aussitôt dans la cuisine. » => Répétition de « sous le bras »

* « Avicennius se retourna, mais l’université était bel et bien là, massive et immobile, avec ses murs blancs cassés et ses hautes fenêtres. Impossible donc de sortir par là, à moins de sauter d’une hauteur d’au moins trois mètres, en risquant au passage de se briser les os. » => Je suis un peu perdue... Je relirai ce passage au calme... Du coup, ta volonté de nous perdre comme l'est le personnage est réussi.

* «  Voyons, je ne peux explorer que des lieux qui me sont déjà connus, ou tout du moins familier. Me voici donc prisonnier d’un rêve ! Mais alors comment expliquer cette impression si prégnante de réalité et ces paradoxes géométriques, murmura-t-il pour lui-même. »  Là ça y est j'ai tout compris de ce que tu voulais nous faire passer. C'est vraiment une bonne idée. Ca montre les limites de l'esprit, il est capable d'aller seulement là où le corps a déjà été. C'est très intéressant !

* « – Qui êtes-vous ? cracha-t-elle 
– Je… je suis Avi… Avicennius, bégaya ce dernier, comme si quelqu’un ou quelque chose retenait les mots au fond de sa gorge.  (tu n'as pas oublié une partie du dialogue, du genre « et vous, qui êtes-vous ? )
– Comment ! Tu ne devines pas siffla-t-elle, tu oses me demander qui je suis ! « 

En tout cas quel rêve ! On sent qu'il y a son importance pour la suite... Très intriguant ! J'ai bien envie de savoir qui est cette femme mystérieuse...

Mon avis général sur ce chapitre :
Ce chapitre m'a un peu moins tenu en haleine que les précédents, j'ai eu du mal à apprécier à sa juste valeur les tâches domestiques d'Avicennius. Je ne l'ai pas particulièrement trouvé facile à lire.

Bonne continuation !
Diogene
18 janvier 2015 à 18h18
Hello Roselyre,

Merci encore une fois pour ton passage.
Alors tout d'abord, j'ai corrigé les quelques répétitions et autres coquilles que tu as repéré. Ensuite, si Avicennius se plonge dans les tâches ménagères, c'est pour ne pas rester prisonnier du rêve qu'il a fait, d'autant qu'il est loin d'en connaître tous les tenants et les aboutissants.

Et pour dire, oui ce rêve aura de l'importance et surtout ce n'est pas par hasard que cette femme le reconnaît et pas lui.

Mais je peux comprendre qu'il soit difficile à appréhender, il y a beaucoup de choses voilées, qui ne se découvriront que beaucoup plus tard.
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