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Le jour où l’aube ne s’est pas levé
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tome 1, Prologue « Prologue, l’adieu du soleil » tome 1, Prologue

La nuit c’est fabuleux, incroyable et indescriptible .

Ces constellations éternelles, cette lune brillante et ronde, sans oublier cette couleur de ciel sombre et profonde. Jamais je ne m’en lasserais, jamais. Tellement d’histoires on lieu la nuit, tellement de contes. Qui sait ce qui se cache réellement derrière le firmament, l’univers est il réellement infini ? Peut-être que …

- Noah ! Noah t’es où ? Cria Laora.

- Je suis là ! Mais tu m’as encore surpris alors que je méditais !

Des bruits d’herbe froissée me parvinrent. Puis la silhouette brute de mon amie apparu. Elle planta son regard dans le miens et me jeta

- Ta mère vas pas aimer, t’es plein de terre. T’es franchement irrattrapable, c’est encore moi qui vais devoir te trouver une excuse. Elle soupira puis se posa a côté de moi. On était à une centaine de mètres de chez moi. La maison isolée surplombait la plaine immense. C’était magnifique. De la fumée se dégageait de là cheminée. Et s’éloignait, en disparaissant éternellement dans l’immensité du ciel.

- Dit Laora, tu penses qu’il se passera quoi demain ?

- j’en sais rien, j’suis pas devint. T’en pose des questions des fois. Tu m’épuises et …

Elle s’interrompît quand elle remarqua que je l’observais. Elle parlai vite souvent j’avais du mal à suivre.

D’ailleurs en y repensant on s’opposait sur tout les point autant physiquement que mentalement. On était les contraires, malgré tout on s’appréciait ainsi.

- Quoi ? Lâcha t-elle les yeux plisser d’accusation. Je parle trop vite c’est ça. Elle soupira à nouveau. Tu sais quoi je vais peut-être y aller après tout. Elle avait comme des remord dans la voix, de la tristesse.

- Non je me disais juste que t’étais assez jolie.

- Assez ? C’est tout ? Elle feignait la déception, mais je sentais bien qu’elle était flattée. A l’inverse de moi elle n’était pas très apprécié. Rare était les garçons qui là complimentaient. Même moi j’étais surpris de mes mots. Car elle n’était pas spécialement belle, malgré son visage harmonieux. Physiquement non plus d’ailleurs. Cette phrase était sortie si naturellement que je devais bien là penser au fond de moi.

- Merci. Murmura t-elle plus pour elle même que pour moi.

Peu après elle se leva, et me lança.

- Jure moi qu’on sera toujours ami, quoi qu’il arrive !

- Est ce que cela signifie que tu prépare quelque chose ?

- Non, je te le promet. Dit- elle avec un de ces air que l’on ne peut remettre en question.

- Alors moi aussi je te le promet.

Le reste de la nuit je restais seul. Dans l’herbe épaisse et humide. Et m’endormît avec une question qui me tourmentait, et m’obsédait. Est ce que le jour et la nuit son éternel. Où est ce qu’un jour, tout s’arrêtera ?

La nuit c’est fabuleux, incroyable et indescriptible .

Ces constellations éternelles, cette lune brillante et ronde, sans oublier cette couleur de ciel sombre et profonde. Jamais je ne m’en lasserais, jamais. Tellement d’histoires on lieu la nuit, tellement de contes. Et puis j’ai vraiment une belle vie, je peux rester là. A regarder les étoiles, pour l’éternité.

- Noah ! Noah t’es où ? Cria Laora.

- Je suis là ! Mais tu m’as encore surpris alors que je méditais !

Des bruits d’herbe froissée me parvinrent. Puis la silhouette brute de mon amie apparu. Elle planta son regard dans le miens et me jeta

- Ta mère vas pas aimer, t’es plein de terre. Franchement t’es gavant, c’est encore moi qui vais devoir te trouver une escuse. Elle soupira puis se posa a côté de moi. On était à une centaine de mètres de chez moi. La maison isolée surplombait la plaine immense. C’était magnifique. De la fumée se dégageait de là cheminée. Et s’éloignait, en disparaissant éternellement dans l’immensité du ciel.

- Dit Laora, tu penses qu’il se passera quoi demain ?

- j’en sais rien, j’suis pas devint. T’en pose des questions des fois. Tu m’épuises et …

Elle s’interrompît quand elle remarqua que je l’observais. Elle parlai vite souvent j’avais du mal à suivre. Moi j’étais calme et posé. Elle était haute de un mètre cinquante et moi j’étais une allumette d’un mètre quatre-vingt-six. Elle avait une voix de basse et moi étonnamment aigu. On était les contraires, et pourtant on s’appréciait ainsi.

- Quoi ? Lâcha t-elle les yeux plisser d’accusation. Je parle trop vite c’est ça. Elle soupira à nouveau. Tu sais quoi je vais peut-être y aller après tout. Elle avait comme des remord dans la voix, de la tristesse.

- Non je me disais juste que t’étais assez jolie.

- Assez ? C’est tout ? Elle feignait la déception, mais je sentais bien qu’elle était flattée. A l’inverse de moi elle n’était pas très apprécié. Rare était les garçons qui là complimentaient. Même moi j’étais surpris de mes mots. Car elle n’était pas spécialement belle, malgré son visage harmonieux. Physiquement non plus d’ailleurs. Cette phrase était sortie si naturellement que je devais bien là penser au fond de moi.

- Merci. Murmura t-elle plus pour elle même que pour moi.

Peu après elle se leva, et me lança.

- Jure moi qu’on sera toujours ami, quoi qu’il arrive !

- Est ce que cela signifie que tu prépare quelque chose ?

- Non, je te le promet. Dit- elle avec un de ces air que l’on ne peut remettre en question.

- Alors moi aussi je te le promet.

Le reste de la nuit je restais seul. Dans l’herbe épaisse et humide. Et m’endormît avec une question qui me tourmentait, et m’obsédait. Est ce que le jour et la nuit son éternel. Où est ce qu’un jour, tout s’arrêtera ?


Texte publié par Camélia, 29 septembre 2024 à 14h59
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