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Pour une fois, ta prose est à moitié en vers. Le rythme du Baron nous emporte, dans sa musique mortelle, sinistre mais pleine d'élégance, et on la suit avec bonheur, en souhaitant que la nuit ne finisse jamais...
petites coquilles (ouaip, c'est un de mes passe-temps) : "et il n’est pas question que quiconque meurt" -> meure "dont le corps pourri quelque part dans le bayou." -> pourrit "Et nous partons pour la Nouvelle- Orléans, où nous y sèmeront" -> nous sèmerons "que j’ai, cette nuit, occis. ' -> occise Je te crois sans peine, l'ambiance qui en ressort est proprement magique ! J'ai vraiment beaucoup aimé cette lecture
Merci Sue, çà me fait extrêmement plaisir.
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30 novembre 2014 à 10h06
Je voulais que le texte reflète a musique qui lui a donné vie. C'est là que je me suis rendu compte à quel point le jazz pouvait autant refléter la mort et les malheurs des descendants d'esclaves noirs.
Mais malgré tout je me suis régalé quand je l'ai écrite.
Merci pour les coquilles, corrigées