Un très beau chapitre. Tu exprimes vraiment bien l'amour qu'Oryne éprouve pour la mère de Victor et à quel point la voir dans cet état la touche. Le dialogue entre les trois amis est très agréable et naturel. Et enfin la scène finale, le rêve, est amené très naturellement. C'est très bien écrit.

Quelques petits points :
- Je ne comprends pas où est située la chambre : c'est la première porte, puis ils se rendent dans la dernière pièce ?

- Tu n'as pas raconter le moment où elle s'est enfuie de la chambre. Du coup, c'est un peu confus : à quel endroit Victor la rattrape-t-il ? Dans le couloir ? encore dans la chambre ?

- Je pense qu'il faut reprendre les paragraphes où elle évoque les émotions et son pouvoir : la coquille vide et le chaos émotionnel, le rôle du bracelet. Elle ressent des choses, mais elle ne sait pas si ces émotions sont vraiment les siennes ? Si le bracelet limite son pouvoir, ne serait-ce pas quand elle le porte qu'elle est une coquille vide ? Du coup, quand elle ne le porte pas, elle est libre de ressentir des choses, mais elle perd le contrôle et ne sait pas si cela vient d'elle ou si elle est influencé par les gens autour d'elle ?

- En ce qui concerne le rêve, comment sait-elle que cet homme existe ? Ne se demande-t-elle pas si elle hallucine ? Est-ce qu'elle sait de quoi il a l'air ? Je trouve qu'elle accepte facilement la situation.

Quelques remarques concernant l'expression :
- J'ai remarqué que tu utilises souvent des adverbes comme "pourtant", "toutefois" ou "au contraire" au milieu d'une phrase après une virgule. Il vaut mieux utiliser un ; ou un . avant ces mots.
- différents de comment je les avait connus = maladroit
- Même ceux des humains qu'elle trouvait passionnants ==> même aux humains qu'elle trouvait passionnants
- Le temps se fait bien plus court ==> le temps passe plus rapidement ?
- d'autres l'ont jugée
- heurter son torse sentant le cèdre ==> est-ce un détail vraiment nécessaire.
- charrie ==> familier
- utilise ==> utilisé ou utile ?
- réagi ==> réagit