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Tous les médias ne parlait que de ça : Yuei s'est fait attaqué par des vilains. Que Yuei se fasse attaquer cela arrivait de temps en temps. L'école était réputés pour les professeurs étant de vrais héros et quelques vilains ont essayé de se venger. Mais une attaque de cette force et pour kidnapper un enfant, ça ne s'était pas arrivé depuis des années.

Les professeurs et le numéro 2 avait réussi à garder le secret de la vilaine aux capsules. Le secret était restés secret d'état et les élèves n'avaient pas le droit d'en parler. La vilaine était emprisonné en prison et les capsules étaient analyses au laboratoire.

De l'autre côté, a la capitale, il y avait une réunion avec plusieurs grands politiques. Le président du Japon, d'autres grands politicien et le proviseur de Yuei étaient présent.

- En vue des évènements derniers, expliqua le 1er ministre, nous allons décaler le festival de Yuei de 1 mois. Le temps de préparer la sécurité, de restructurer tout l'événement et que tous les élèves soient prêt.

Tous le monde approuva mais le proviseur resta neutre. Un autre conseiller expliqua :

- Le laboratoire a fait les analyses des produits présent à l'intérieur des capsules... Et j'ai une très mauvaise nouvelle...

Le conseiller remetta bien sa cravate. Il avait l'air inquiet et était tout pâle.

- Le liquide présent dans les capsules contenait des cellules humaines...

Un grand blanc se fit dans la salle. Le proviseur prit la parole :

- De combien de personnes ?

- Presque 5 personnes différentes. Et nous avons essayé de les recherchers et ils sont tous les 5 disparus.

- Nous ne savons pas qu'est ce que c'est mais cela peut devenir grave, dit le président. Dans le temps on avait des Nomu et maintenant une nouvelle forme de monstre est arrivé. Je vais envoyer des soldats faire des recherches. En attendant, le festival sera repoussé d'un mois.

Les ministres et conseillers commençaient à débattre entre eux et le président leur coupa :

- Il est temps de parler de notre dernier sujet. Le jeune homme avec le All for One. Monsieur le Proviseur.

- La dernière attaque des vilains étaient destines a le kidnapper. Ils l'ont livré a 5 vilains. Mais Antoine, le jeune homme, expliqua qu'ils n'étaient pas là pour le kidnapper mais plus de cadeau. Les alters volés étaient intéressant pour l'alter d'All for one. Comme si ils voulaient l'appater.

- Et son alter, demanda un autre ministre ?

- Il se blesse toujours s'il l'utilise trop, expliqua le proviseur. Mais malheureusement on va arriver où son alter va recueillir les âmes. J'ai entendu dire qu'ils ont tué les prisonniers évanouis.

Les ministres et conseillers repartirent en débat entre eux.

J'était toujours endormis dans l'infirmerie. Personne n'était présent dans la pièce. Mais au fond de moi c'était la guerre. Je ne se sentait pas bien du tout. J'était dans un petit coma mais pour je le ressentait comme un cauchemar.

Quand j'avait réouvert les yeux, je pensait que c'était qu'un cauchemar mais j'était bien dans mon esprit. J'etait dans une ruelle sombre, les bâtiments autour de moi étaient détruits et une mini brume était présent. J'essaya de parler mais je remarqua que je ne pouvait pas car j'avait pas de bouche. Mon corps avança tout seul et me retrouva quelque seconde plus tard dans un cul de sac.

Des palettes étaient entreposés autour des murs et un feu de poubelle était allumés au milieu. Sur les palettes se trouvaient 6 personnes. Un garçon tout maigrichons dit :

- Pourquoi ton cerveau a créer ce genre d'endroit ?

- C'est assez glauque, dit une femme blonde en tenue noire. La prochaine fois choisis un meilleur endroit.

Mes yeux s'écarquillèrent en comprenant qui était ses 6 personnes. C'était les 6 personnes à qui j'avais volé leurs alters et qui sont morts. Le proviseur m'avait prévenu mais je ne m'étais pas préparé a que ce soit si tôt.

Un homme aux cheveux blonds court se gratta le cou et dit :

- En volant nos alters tu nous a mis dans un coma. Le gouvernement ne voulait pas nous garder comme boulet donc ils nous ont tuer. Mais qu'est ce qu'on fait ici alors ?

Les 6 victimes me regardaient mais aucun son ne sortit. Tout d'un coup un aura puissant, a en donner des frissons, se fit sentir derrière moi. Les 6 personnes en face se mirent a regarder derrière moi.

- Je peux tout vous expliquer, dit la voix.

Je n'arrivais plus à bouger, j'étais terrifie par cette aura. La personne me dépassa et je le reconnu tout de suite. Il avait un costard sans cravate et un masque en fer avec un respirateur sur la tête. C'était l'ancien All for one. Il se mit en face de moi et me répondit :

- Je sais que tu ne peux pas parler. Dans quelques temps tu pourras. Je le sens dans ton regard que ça te plaît pas. Je ne suis pas All for one, je ne suis que son ombre, sa pensée. Le All for one est un alter assez particulier et il passe de génération en génération. Et étant donné que c'est moi le dernier porteur c'est moi que tu vois, même Tomura l'a obtenue ça ne change rien. C'est moi le maître.

Je tournais le dos a mon ancien prédécesseur mais il continua son discours :

- Tu veux devenir un héros ? Je n'ai pas le choix, je ne peux que t'aider dans ta démarche.

Une femme rousse, qui avait l'alter de découvrir les actions dans le futur, me dit :

- De toute façon on a rien d'autre à faire.

- On a été trahis par Imochi, dit le blond. Autant qu'on t'aide.

- Accepte notre aide, me dit All for one.

Je leur lacha un doigt d'honneur et leur tourna le dos.

Je me réveilla 3 jours après l'attaque. L'infirmière était a côté en train de soigner un autre élève. J'étais en sueur. Dans ma tête, la discussion s'était passé il y a 2 minutes.

- Je veux voir le directeur, je dis avec une voix enrouée.

- T'es réveillés enfin, dit l'infirmière.

Elle me realongea et fit quelques soins sur moi. A peine 2 heures plus tard, je sortais de l'infirmerie. A peine sortis, je courrais vers le bureau du directeur. Je toqua et rentra sans sa permission.

- Antoine, tu es enfin réveillé, me dit il.

- Je les ais vu !

Le proviseur se leva de sa chaise et alla fermer sa porte. Je m'assis en face de son bureau et je lui expliqua tout : le lieux, la rencontre etc... Mais je ne parlait pas du fait que mon prédécesseur était présent.

Le soir dans mon lit, je replongea dans mes pensées et me retrouva au même endroit. Ils pouvaient tout voir de ma vie. All for one prit la parole :

- Pourquoi tu ne lui as pas dit pour ma présence ?

Je ne pouvais toujours pas lui répondre et il continua donc :

- Soit c'est parce que tu as peur de te faire assasiner car je suis la, soit que tu as besoin de moi.

Je lui tourna le dos en guise de réponse. Mais je savais au fond de moi qu'il avait raison sur les 2 points.