Je m'appelle Louïsse, J'ai 16 ans et aujourd'hui je suis officiellement lycéen. En faite c''est la première fois que j'entre dans un établissement scolaire. D'habitude se sont mes parents qui me faisaient étudier mais depuis la mort de ma mère il y a un mois mon père à changer de comportement. "Il devient plus agressif a la moindre miette sur le plancher"... Tout le temps si vous préférer.
Mes premier pas dans le lycée on été difficile. J'ai diminué ma vitesse jusqu'au strict minimum. Arrivée a la limite entre la rue et la récréation, je me suis arrêter net. Une énorme cour de récréation, des bâtiments tout le long formant les trois quart d'un carré. Des mecs super bien habillés et des filles d'une beauté à vous en couper le souffle et un paysage de rêves.
C'était sa le lycée. Je ne pensais pas que sa serait aussi merveilleux. Même si ma mère ma toujours dit "qu'une belle et grande toile dissimule les secrets de ses auteurs". Elle aimait inventer de nombreuse expression comme ma préférer "La fille que j'ai a pour nom l'heure ou tu es née". Je n'ai jamais su ni compris ce que cela voulait dire et je ne sais pas si je le saurais un jour.
Finalement arrivé en classe. Je me suis présenté sur l'estrade comme tout le monde. Juste après moins une magnifique fille. Elle avait un corps de rêve que "mes yeux écoutait en touchant son odeur si savoureuse". Pourtant je ne sentais aucune pulsion a son égare. Après les cours du matin, je l'ai suivi discrètement dans ses activités. A la bibliothèque, elle lisait une livre étrange certainement scientifique avec pour titre "la loi de l'infinité".
Ensuite la pause de midi. Elle avait pris un repas saint et équilibrer avec une salade composer d'œufs, patate, olive, radis, tomate, thon et une sauce vinaigrette surement fait maison. En plat de résistance une viande donc je ne connaissais pas le nom qui semblait saignante a souhait. Le dessert une ile flottant, un flan, et une banane quel mangeai comme d'une façon plutôt unique. Mon esprit pervers commençait à me jouer des tours.
Lors du sport de l'après midi. Je matais sa grande paire de seins bougé dans tout les sens. Je ne savais pas pourquoi cela m’intéressait? Je n'avais pas connu beaucoup de fille a gros lolo avant sa doit être sa. Une chose est sur, j'étais certain que nous étions vraiment fait l'un pour l'autre. Pourtant j'avais a beau y mettre tout mon âme. Je n'arrivais pas a tomber amoureux d'elle. Ma mère avait l’expression parfaite pour sa "la direction de notre regard c'est l’instinct que notre esprit combat". Elle m'en avait tellement dit que je ne pouvais pas penser une minute sans en sortir une.
Les cours terminé, je suis rentré chez moi l'esprit totalement vider. Je pensais combler sa avec un jeu vidéo mais même mon estomac me faisait faut bon. Je me suis alors allongé sur mon lit et ma suis rappeler de se que ma mère disait pour m'endormir
"Dormir c'est mourir, rêver est-ce le paradis?". Jean-Marc Seiry. C'est mon père
Une semaine plus tard, en rentrant du lycée. Après avoir tenté mainte et mainte fois de ma rapprocher de mon idéal féminin. J'ai découvert avec horreur la maison totalement dévaster. Dans le salon les vases étaient brisés, les meubles renversés, la porte démonter... Tout étaient sans dessus dessous a par l'aquarium même si il était vide.
Un grognement derrière le canapé a attiré mon attention. Il s'agissait de mon père se roulant dans tout les sens avec une arme avec un trophée à la main. Il était littéralement fou et tapais même le sol avec sa main libre. C'était la première fois qu'il était dans cet état mais je ne pouvais rien faire. Depuis la mort de ma mère quand je fais la moindre bêtise ou que je parle. Il me donne un coup très fort sur le visage, les épaules ou le dos.
Je préférais ne pas savoir se qu'il allait me faire pendant sa crise. J'ai préférer prendre l'option de la fuite. C'était décidé, j'allais fuguer même si cette idée ne m’enchantait pas. D'habitude je me sens tellement faible que je n'ose même pas penser a quelques chose qui mettrait en rogne mon père mais je suis avant tout quelqu'un qui tien a la vie. Je fuis se soir sans même prendre le temps de réfléchir ou j'allais.
"Fuir l'ombre de la terre, c'est fuir la terre" : Mary-Kate Dumas 1983. C'était ma mère
Juste par instinct, j'ai suivit le même trajet que pour aller au lycée. Après être arrivé juste devant, j'ai continuer mon chemin de droite à gauche sans même savoir si je tournais en rond. Sur le trottoir d'une rue que je ne connaissais pas. Une fille gisait par terre, certainement inconsciente au vu de son état et de sa position.
J'ai commencé à pratiquer les premiers gestes de secours que mon père m'avait appris quand il avait encore toute sa raison. Étape par étape du saignement a l’arrêt du cœur et avec quelques connaissance personnel, j'en ai déduit quelle n'avait pas mangé depuis longtemps. En plus son ventre gargouillais de quoi confirmer mon hypothèse.
Quelques heures plus tard après lui avoir faire mâcher quelques reste de mon repas de midi, elle a finit pas se réveiller. Elle avait des yeux d'un rouges plutôt unique, des cheveux long et blond qui lui allait jusqu'au bas des fesses, une voix étrangement attirante qui sortait de sa bouche pendant quelle dormait, une poitrine de taille moyenne et plein d'autre détaille troublant.
A se moment la, si j'avais su que juste en face de moi, une véritable démone, a l’apparence humaine, aux pouvoirs de nombreux mythe et légende, allait pactiser avec moi, d'un contrat de bonheur et de malheurs, l'aurai-je pris avec le destin qu'il m'accorde?
Dimension parallèle, vie d'un harem, destin des ténèbres, séparé a jamais : Se sera nous Louïsse Alias Mathieu Duseï et Iyu Alias Lucy Démone
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