Chapitre intéressant, à nouveau. J'ai aimé que Lucie soit tiraillée entre deux désirs, celui d'être gentille et celui d'être infernale. Mais là encore, je pense que tu aurais pu amener ça un peu plus tôt. Globalement, j'ai l'impression que ton texte n'est pas assez réfléchi dans le sens où tu sembles poser des idées les unes après les autres sans qu'il y ait d'antériorité (comme avec Marie, par exemple). C'est un peu dommage. Si tu reliais davantage tout ça, ce serait plus construit et plus intéressant.
La fin avec le papillon était glauque et géniale à la fois. En revanche, la dernière phrase m'a semblé exagérée. Je veux bien que Lucie se sente plus légère, parce qu'elle a évacué une tension, mais de là à voir la vie en rose d'un seul coup, je pense qu'il y a des limites x)