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Alors, j'ai trouvé deux temps dans ton texte :
-celui où le personnage est "paisible" lorsqu'il est avec son sabre et qu'il se bat. -celui où le personnage vit sa vie quotidienne qui lui pèse. Il se perd dans son quotidien trop routinier et qui perd peu à peu son sens. Après, je me demande si le sang provient d'une attaque sur l'adversaire ou s'il vient de se suicider avec son sabre. Vu le niveau de détachement qu'il a atteint, j'hésite. Peut-être avait-il un compte à régler avec l'adversaire. On ne sait pas de qui il s'agit. Finalement, tout le texte parait marqué par le vide ou l'absurdité qui gagne le personnage. Le lien avec le sabre m'a rappelé une certaine hache ^^. On a l'impression que lui aussi est un personnage a part entière. D'ailleurs, c'est le plus beau de cette histoire. ![]() |
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18 mai 2021 à 19h14
En effet, il y a deux temps dans ce texte. Maiis deux temps qui se déroule en parallèle, l'une dans son quotidien, l'autre dans sa tête. Son adversaire, si on peut l'appeler ainsi est sa conscience. Elle lui rappelle qu'il n'y a rien à tirer d'une vie vide, dépourvue de sens, où la seule chose qui compte est d'être au sommer. Alors oui, il se suicide, dans la scène qui se joue dans sa tête c'est sa conscience qui le tue, dans le réel, il se pend, dévoré par l'absudité de son existence, au point, comme l'a fort bien remarque Yuri qu'il n'y a aucun cérémoniel dans son suicide, le geste est devenu banal.