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La crapule toujours derrière les êtres mystérieux Breuson et Nessdar, toujours incapable de faire quoi que ce soit, toujours orienté par la peur qui lui dicte d'avancer. Normalement dans ce genre de situation n'importe quel être humain réfléchirait à différent plan dans un coin de son cerveau pour pouvoir s'échapper ou alors essayerait de négocier sa liberté ou bien envisagerais le pire pour ce qui est à venir. Cependant, aucune de ses pensée ne traversèrent la tête de la crapule en réalité même aucune pensée ne traversait son esprit mis à part une, une seule pensée à l'instant précis ou il regarda Nessdar et c'était "il est dangereux !". La crapule connût bien des situation dangereuse, affronta des hommes tellement sanguinaire et malfaisant qu'on ne pouvait les qualifier d'être humain, frôla la mort tellement de fois qu'il pensait qu'un jour la mort viendrait le chercher en personne. Mais jamais ressenti une sensation pareille regarder ne serait ce seulement que le dos de Nessdar c'était comme se prendre l'air le plus glacial du monde en plein dos, Breuson paressait angélique en comparaison .

*Breuson éternue*

- Ce petit con, il est mort debout ou quoi !? il marche comme un pantin décérébré.

*Nesdarr se retourne*

-Tant qu'il marche et obéit que cela peut-il bien faire. D'ailleurs on arrive je perçoit le Portail.

Breuson d'un air exaspéré.

-Bon sang! je ne suis même pas arrivé mais je me sens déjà fatigué en pensant à cette chieuse.

Arrivé au bout du chemin se trouvait devant eux une étrange porte sensiblement identique à la porte qui se trouvait dans la chambre, mais avec cette fois ci pas deux mais plusieurs carcasses qui gardaient les extrémité des portes, d'autre part celle-ci était incrusté de symboles étranges de haut en bas, on aurait dit des écritures mais impossible de savoir ce qui était écrit. Le portail quant à lui mesurait au moins un vingtaine de mètres de plus que l'autre porte, cependant la raclure qui venait de reprendre conscience remarqua un squelette qui ne semblait pas comme les autres, il était beaucoup plus grand et se tenait au dessus des autres. Mais ce n'était pas réellement le problème, le vrai problème pour la raclure c'est qu'il avait la sensation que le celui-ci le fixait. Pour en être sur il se mît à bouger légèrement vers la droite puis vers la gauche se mît à reculer et répéta ce mouvement un bon nombre de fois quand brutalement un son féroce sorti de la bouche du squelette.

- Arrête de bouger !!! hurla t-il en colère.

- Waaah!!! ça parle! ça parle! comment ça peut parler un squelette?! S'étonna t'il d'un air effrayé.

Breuson se mît à rire bruyamment, tellement bruyamment qu'on aurait pu l'entendre à des kilomètres à la ronde.

- Tu parles maintenant gamin ? pourtant toute la mâtiné tu nous faisait la tronche, j'ai même cru à un moment que t'avais rendu l'âme.

le squelette continua de fixer la raclure puis un long soupir suivi.

- Nesdarr, Breuson. Ce gamin ressemble vraiment à un guignol vous êtes sur qu'il fera l'affaire ?

Breuson tout emballé et la voix crépitante

- Non! il ne fera pas l'affaire! Mais bon Nesdarr ne semble pas penser la même chose que moi. soupira t-il

Nessdar avança à pas lent en direction de la porte trépignent d'impatience, même si il était inexpressif, à sa démarche on sentait son empressement.

- Trêve de papotage inutile, Mortuus ouvre le portail je suis fatigué, en plus de ça le gamin doit savoir pourquoi il est là pour remplir sa mission à bien.

*Mortuus fixe longuement la crapule

- Non!! il ne rentrera pas! il devra répondre de ses faiblesses!

*Mortuus fixe la crapule

- Pour qui tu te prend hein! ce qui se trouve derrière moi est un endroit sacrée où seul les élus ont le droit d'y entrer pas les gens comme toi. Mais si tu y tiens tant que ça je te ferais passer un test qui me permettra de voi-.

Quand soudainement Mortuus arrêta de parler car il se rendît compte que Nesdarr l'observait avec un regard sombre et meurtrier à la fois qui effraya le géant d'os .

- Bon, en fait tu sais quoi je vais te laisser entrer. Mais ce n'est pas de mon plein gré que je le fais, compris gamin ? dit il la voix apeuré qui lui fit perdre toute crédibilité.

- ahhhhhh! dommage j'aurais aimé voir le morveux suer du sang. dit Breuson l'air déçu

Mortuus décida sous la contrainte de laisser passer la crapule. Mais avant de passer la porte la crapule se rendît compte d'une chose, une chose qui lui trottait en tête depuis qu'il avait repris conscience, une chose tellement anodine et évidente à la fois qu'il ne compris pas comment il ne s'en était pas rendu compte plus tôt.

- Comment ? Comment c'est possible que j'arrive à comprendre leurs langage ?!!