Theodore aura fait un beau dernier cadeau à Suzanne.
Au moins Ernestine est revenue tenir compagnie à sa maitresse en cette habile porte ouverte vers une possible réincarnation de Theodore en chaton .
Un chapitre bien émouvant !

Quelques coquilles :
- M’man... Tu ne vas pas dormir, encore. -> pas dormir ici ?
- Un vague de culpabilité -> une ou alors un voile peut-être, plutôt que vague ?

Un paragraphe que j'ai trouvé étrange :
- La voilà seule, dans le hall de l’hôpital. Ses yeux fixaient les portes vitrées que venaient de franchir son fils et les petits.
J'ai l'impression que les deux phrases ne se marient pas très bien en terme de temps. La première se constate au présent, avec "la voilà". Peut être qu'une fusion des deux prhases sonnerait mieux.
"Seule dans le hall de l'hôpital, ses yeux fixaient..." ou "Désormais seule dans le hall..."