On sent que les personnages d'Angélica et Gary sont plus "actuels" et "maîtrisés", je vois où tu veux en venir quant à Keitaro. Après, c'est peut-être aussi dû au caractère des persos. Gary et Angélica ne sont pas passifs . Après, pour Keitaro, je n'ai pas grand chose à redire pour l'instant, j'attends d'en lire plus. Quoi qu'il en soit, même si tu "patouilles" avec lui, tu t'en sors bien, rassure-toi. Bon, après, je suis un peu une défenseuse des personnages passifs, souvent mal-aimés... donc ce que je dis est à prendre des pincettes .

Pour en revenir à Gary, je comprends aussi pourquoi c'est ton chouchou :3 ! J'ai hâte d'en savoir plus sur lui ^^.

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« elle l'aurait rabroué de quelques coups de torchon » : elle le rabroue et lui met/donne/inflige des coups de torchon, plutôt, parce que sinon… Après, je ne suis pas sûre, mais « rabrouer » ne peut pas avoir le sens que tu lui donnes là tel quel XD.

« bien qu'il commençait à en douter » : bien qu’il commence ou bien qu’il commençât (mais je crois que tu as choisi le subjonctif présent. Bon, les deux sont corrects, tant que tu harmonises partout).

« Je ne vous crois pas, dit-elle avec un sourire sans joie.
— Comme vous voulez. Pourtant, j’en ai même le nom… » : j’ai relu plusieurs fois, je ne comprends pas le rapport avec « j’en ai même le nom »… Ça se réfère à quoi ?

« Tiens, la dame avait décidé de se confier. Finalement. » : le rythme me gêne ici.

« Le métis hocha la tête d'un air compatissant et attendit la suite. Comme celle-ci ne venait pas, Gary tenta de la relancer. » : « il tenta de la relancer », pas besoin de repréciser que c’est Gary, on le sait.

Gary claqua la porte sans le laisser finir, puis la verrouilla à double-tour. Il entendit l’autre descendre les marches en ramassant les billets, puis sortir. : répétition maladroite de « puis ».