On ne pense pas que cela puisse arriver.
Non, les yeux se ferment pour ne plus voir.
Tu le sais, tu le sens, tu le découvres et tu en souffres.
Rien, voilà ce que j’étais et ce que j’avais,
Et le masque que je portais faisait illusion.
Sauf que dans la solitude, il n’y a plus de jeu,
On ne peut plus retenir ce que l’on enfouit en nous.
Rares sont les rides de sourire, et longs sont les cernes.
Tout m’a poussé sur le bord de cette falaise.
Une sensation, la dernière, celle qui vous emporte, ici.
Et comment résister ? Lutter contre la fatalité d’une vie.
Simplement grâce à toi, dès le premier regard.
Mon cœur a explosé, arrachant tous les verrous.
Amour, un sentiment qui m’apparaissait inconnu.
Vie, enfin elle commençait dans tes yeux, entre tes mains.
Immensité, profondeur, angoisse de l’amour,
Envie, oui c’est le moment de plonger dans cette ivresse.
LeConteur.fr | Qui sommes-nous ? | Nous contacter | Statistiques |
Découvrir Romans & nouvelles Fanfictions & oneshot Poèmes |
Foire aux questions Présentation & Mentions légales Conditions Générales d'Utilisation Partenaires |
Nous contacter Espace professionnels Un bug à signaler ? |
2778 histoires publiées 1267 membres inscrits Notre membre le plus récent est JeanAlbert |