![]() ![]() Droits de l'image
![]() www.artstation.com/jonaslopezmoreno Si vous êtes l'ayant-droit de l'image utilisée ci-dessus et que vous souhaitez la retirer de la banque d'image LeConteur.fr, contactez-nous.
|
![]()
Elle n'a pas l'air en forme, la dame
![]() Je ne sais pas ce qui lui est arrivé, mais tu rends parfaitement son état de confusion. On a l'impression qu'elle a tout oublié du monde, voire du sens des mots ou du langage. C'est très intrigant ![]() Et je trouve que ça se lit bien plus facilement que certains autres textes à toi ^^; (j'ai souvent du mal avec les styles ampoulés ou poétiques) Avec celui-ci, je n'ai eu aucun mal à progresser jusqu'au bout ![]() Ca me donne envie de continuer ! -------------- - "un long appendice, recouvert d’une chair luisante et molle." => son bras... ? - "une chose brune, couverte d’une peau rêche" => Du coup, ça c'est quoi ? Un gant ? Pourquoi parler d'une "ombre" munie d'une main et d'un bras ? Avec la "clarté crue du ciel", ça parait improbable qu'elle ne puisse pas distinguer la silhouette dans son intégralité. Je sais que tu aimes les ombres, mais quand même =D Pareil pour le décor aux "contours sombres et flous.", alors qu'on est en plein jour. Ca fait bizarre. Ah, j'oubliais Natsu,
Tu ne peux pas le savoir à ce stade de l'histoire, mais le personnage porte un combinaison recouverte d'un équivalent de vantablack, autrement dit, il ressemble à une tache noire. ![]() |
LeConteur.fr | Qui sommes-nous ? | Nous contacter | Statistiques |
Découvrir Romans & nouvelles Fanfictions & oneshot Poèmes |
Foire aux questions Présentation & Mentions légales Conditions Générales d'Utilisation Partenaires |
Nous contacter Espace professionnels Un bug à signaler ? |
3085 histoires publiées 1359 membres inscrits Notre membre le plus récent est Mimi0210 |
25 février 2021 à 19h24
Oublié tout, oui, mais au sens d'une amnésie classique, disons plutôt que c'est résurrection, ou plutôt une naissance, même si les deux termes sont impropres à traduire ce qui lui est véritablement arrivée; tu t'en rendras compte par la suite.
Maintenant, je comprends ce qui t'a gêné et ce dont tu me parlais ce matin. En fait, il n'y a d'incohérence que de notre point de vue qui somme habitué à des contrastes de luminosité, mais imagine un monde presque perpétuellement obscurci, pris dans l'étau d'un brouillard haut, la moindre clarté deviendrait crue, alors même que les formes les silhouettes demeureraient indistinctes, les ombres prégnantes.
Il faut voir ce langage comme l'évocation de souvenirs auxquels les personnages se raccrochent, des lumières, des couleurs qu'ils ont connu autrefois.
La vérité, c'est que je jour tel que nous le connaissons n'existe plus.