Fiche Nouvelle
12 ans et +
Réaliste/Essai
604 mots | ~2 minutes
Jeudi 8 octobre 2020
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Oleksii Petrov (ArtStation)
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Commentaires
C'est... beau, mais si triste à la fois.
J'ai un sentiment mitigé, principalement parce que je ressens ta profonde tristesse, solitude et lassitude derrière tes mots, mais aussi une libération, un soulagement. Un très beau texte de remerciement, on sent que un grand poids c'est enlever de tes épaules au cours de ces trois semaines et j'en suis très heureuse pour toi. Je sais que ça reste difficile parfois, mais tu as réussit ! Il y aura toujours des obstacles, toujours des personnes pour t'enfoncer plus bas que terre, mais tu remonteras ! Coucou Dio !
Ah... je n'avais pas compris pour les 3 semaines, 9 mois c'est très long... Lavage de cerveau : Bonjour ! Le fait que tu es cherché des réponses, que tu as chercher à comprendre ce qui t'es arrivé, ça t'a surement aidé à avancer et à t'en remettre. Oui l'incompréhension des autres, de ta famille, ça te fait sentir comme un paria et je pense que c'est la pire sensation...
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14 février 2021 à 20h11
Je comprends ton état d'esprit à la lecture de cette lettre. Quand je l'ai rédigé, surtout la métaphore de l'étron, j'ai repensé à la lettre d'un salarié de France Télécom, une lettre qu'il avait laissé derrière lui avant de se pendre; il se comparait à une merde, je crois même qu'il remerciait son manager de lui avoir fait ressentir cet état.
Mais non, mon calvaire a duré neuf long mois, pas trois semaine, trois semaine, c'est le temps qui a suffit à effacer de ma mémoire tout mon savoir, toute mon expérience accumulé pendant dix ans (et c'st çà qui es extraordinaire, comment on produit de l'amnésie)
Tu sais, j'ai profité de ma convalescence pour lire, me plonger à corps perdu dans la lecture des critiques du management et coïncidence, c'est tombé pendant le procès France Télécom, tous les jours je lisais les comptes rendus dans la petite boîte à outils; c'était terrifiant en même temps que çà m'a permis de comprendre ce qui m'arrivait.
Mais le pire reste encore, comme pour, toi l'incompréhension des autres, sutout quand c'est ra famille.