Coucou Marika, ou Yuri,

Si je ne devais retenir qu'une seule phrase de ton chapitre, ce serait celle-ci : Mais j’ose espérer, Mère Marika, que vous vous en repentirez amèrement au jour de votre mort. Que cette lâcheté dont vous semblez vous repaitre vous apparaitra aussi monstrueuse qu’elle m’apparait à l’instant.
Tout à la fois, elle marque la naissance d'une nouvelle Linnea et elle ramène Marika à sa propre position et surtout ses responsabilités, sa place et sa personne (j'entends par là, le symbole qu'elle est)