"Elle se croyait pourtant suffisamment mature pour ne plus céder à pareille puérilité, mais l’enthousiasme de son élève l’avait enivrée et elle s’était permise un court instant d’omettre la retenue que son emploi l’obligeait à observer"

=> Ca fait plaisir de voir Linnea se laisser aller comme ça

- Le personnage de la danseuse est vraiment envoutant.
J'aime beaucoup son impertinence, aussi !
Et je trouve que c'est une bonne idée qu'Ana croise un personnage si différent d'elle-même. Je comprends sa confusion.

"une fièvre brûlante croissait en son sein" => je ne sais pas si c'est intentionnel, mais on commence à penser ici qu'Ana est peut-être attirée par les femmes (même si je crois avoir déjà eu cette impression dans le bordel, qq chapitres plus tôt). Ca expliquerait son non-intérêt pour le mariage, en tout cas !
Et c'est touchant, le fait qu'elle ne se fasse pas elle-même sa réflexion, comme si elle ne l'avait pas encore réalisé. Ou identifié.

- Attention à la répétition de "brûlante" (fièvre brûlante, vague brûlante)

On finit presque par haïr les hommes, dans cette histoire. Entre les inquisiteurs, la milice, et la misogynie du clergé masculin...

- Attention à la répétition de "pièces" => 3 fois dans le même paragraphe

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Coquilles :

- "Elle aussi, parcouru émerveillée" => parcourut