Coucou Yuri,

(je ne sais pas si j'ai vu ou non des coquilles j'ai été trop happé par ma lecture)
Plus qu'un nouveau masque de Linnea, je vois plutôt un refuge, un paravent, façonné de droit (canonique), de loi et d'une raison rigide derrière lequel elle se place pour ne pas affronter le reflet que lui renvoie Magdala, sinon pourquoi n'aurait-elle pas dissuadé Ana de l'emmener avec elles. Finalement, Ana lui montre, par la truchement de Magdala, qu'il existe plusieurs voie pour exprimer sa foi, son amour pour dieu ou pour son prochain, mais surtout que l'on peut s'affranchir de règles rédigés par d'autres, pour d'autres et en écire de nouvelles en accord avec des valeurs qui sont toujours celle de Dieu.
LA sentence de Linnea à l'égard de Magdala est glaçante terrifiante, même, mais à qui s'adresse vraiment cette sentence. A Magdala, ou à elle-même ?