Yukino Yuri
11 septembre 2020 à 09h42

Coucou Dio'!
Décidément, Le nom de la rose et Magdala aiment s'acoquiner! Je le lirai sûrement, dès que j'aurai fini les tomes de Les colombes du Roi-Soleil (de la littérature jeunesse, mais quelle plume!) .
En effet, que reste-t-il à Ana, sinon son orgueil qui la pousse à avancer? Je ne peux que trop bien me figurer son désarroi et son égarement. Klara et Svea quant à elles sont des martyres, des victimes de la jalousie humaine: à trop donner, on finit parfois par se brûler les ailes et se faire trahir. Klara est la plus à plaindre: elle qui dédiait sa vie à autrui la perd par ceux qu'elle aidait... Triste éalité encore d'actualité de nos jours
Vraisemblablement, la bouée daterait du 15ième siècle, mais c'est en effet une vision trop moderne pour ce texte, je vais corriger cela

Diogene
11 septembre 2020 à 22h20

Coucou Yuri,
Il faut dire que l'ambiance et le sujet s'y prête, même si nous ne sommes pas dans une enquête policière. (comme quoi littérature jeunesse, ne rime pas toujours avec plume ennuyeuse)
Oui, comme tu dis, il ne demeure que l'orgueil, ce même orgueil qui faillit conduire Esther à la ruine (je ne peux m'empêcher de penser à notre héroîne)En parlant de Klara, je ne l'avais pas souligné, mais alors que le bourreau la supplicie, elle crache tout de même son mépris à la face de ceux qui ce sont détournés, aux autres son indifférence; chose que je ne reconnais que trop.