Coucou Yuri,

Maintenant que j'en discute avec toi, je vais être en panne pour écrire :p.
Encore une fois, je suis impressionné par la réalisme de la scène, mais ce qui me choque (oui, je crois que le mot n'est pas de trop), c'est le cri de l'enfant lorsque Klara se penche sur lui : Sorcière. Cela me choque et renforce l'impression que j'avais eu en découvrant Klara et sa soeur; la jalousie, l'envie , la crainte également qu'elles pourraient inspirer au villageois, dans une atmosphère rendu poisseuse par les prêches du prêtre, maintenant les accusation de cet enfant mourant et de sa mère.
De ce point de vue, l'image du ciel qui s'assombrit et se couvre d'étoiles m'apparaît plus comme une terrible prédiction, pourtant tempéré par la présence d'Ana qui ressemble à l'une de ses étoiles lointaines synonyme, j'ai pas envie de dire d'espoir, mais de liberté, de lumière dans les ténèbres qui s'en viennent.